1. La grande foire


    Datte: 17/01/2022, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail hotel, douche, noculotte, pied, massage, intermast, entreseins, Oral 69, préservati, pénétratio, fsodo, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... sa comparse. Il accéléra ses percussions pour finir plaqué contre elle, la bouche posée sur une épaule. Elle mordait à pleines dents l’innocent polochon. Ils restèrent ainsi serrés l’un contre l’autre de longues minutes.
    
    Anne détestait ces hommes qui, une fois leur affaire terminée, se barraient pour aller fumer une clope, aller boire un verre ou tourner le dos et se mettre à ronfler. Pis, comble de l’impolitesse, rentrer chez eux.
    
    Elle aimait autant lespost-liminaires que lespré-liminaires. Elle aimait ces moments câlins où, tout étourdis, l’on échangeait des caresses, des baisers et des mots doux. Et surtout elle détestait cette sensation de vide, suite à un orgasme si le goujat se retirait sitôt son affaire faite.
    
    Elle aimait sentir l’homme rester en elle, le sentir vibrer encore un peu dans son corps. Puis la nature reprenant ses droits, il se retirait doucement comme dans un songe.
    
    Et Jean Tembien était de ces hommes-là. Délicat avant, puissant pendant, attentif après.
    
    Il resta ainsi planté en elle de longues minutes, la serrant entre ses bras, puis se sépara d’elle à regret.
    
    — Je dois vous faire une confidence, vous avez le plus beau postérieur que j’ai jamais vu, je suis capable de me relever la nuit pour l’admirer.
    — Merci, c’est un des plus beaux compliments que l’on m’a faits… mais dis-moi, à t’entendre tu l’as fait !
    — Oui, la nuit dernière, le drap était descendu et je vous ai admirée.
    
    Elle apprécia cette confession à sa juste valeur, ...
    ... puis reprenant ses esprits elle décréta :
    
    — Nous prendrons une douche demain matin, nous devons dormir un peu.
    
    Un quart d’heure plus tard, il avait le nez planté dans son mille-feuille, elle le pompait comme si sa vie en dépendait tandis que sa langue faisait le tour du grand chauve et qu’elle cajolaitBouvard et Pécuchet.
    
    Lui, agitait son doigt dans la chapelle et serrait entre ses lèvres le Petit Chose.
    
    Ils s’endormirent serrés l’un contre l’autre, le corps recouvert de sueur et de résidus issus de leurs ébats.
    
    ~§§§~
    
    — Dépêche-toi.
    — Ne me bouscule pas, sinon je perds mes moyens.
    — Désolé, fais comme tu le sens.
    — Justement je te sens bien.
    
    À califourchon sur son amant, les yeux fermés, elle menait le trot telle la cavalière émérite qu’elle était, avec en guise de selle le ventre et les cuisses de Jean et surtout sa tige rigide.
    
    Sa monture lui caressait les seins, les palpait fermement, pour finir par presser avec tendresse le téton entre le pouce et l’index. Elle frissonnait sous cette délicate mignotise.
    
    Dans un râle elle s’affala sur le torse de son homme, qui encore tout étourdit de jouissance lui caressait les fesses et le dos, déposait de petits baisers sur ses cheveux humides de transpiration.
    
    — Nous ne sommes pas en avance, soupira-t-elle.
    — Il faut encore prendre une douche.
    — Nous n’avons qu’à la prendre ensemble, mais il faut rester sérieux.
    —Hamster Sérieux est mon surnom chez les scouts.
    — Alors, rien à craindre.
    
    Elle lui ...
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