1. Un cours très spécial à l'université (4)


    Datte: 17/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... continue mon petit cunni jusqu’à ce qu’elle ne tremble plus et se détende. Elle se relève enfin et d’autres lèvres viennent m’embrasser d’un baiser mélangé de sa cyprine, puis elle me lèche entièrement le visage. Je reprends enfin conscience en entendant Agnès.
    
    — Putain ! Mais tu vas jouir, merde ! Ton sexe semble tellement à l’aise dans ma grotte, mais moi, je veux ton sperme !
    
    Comme un élève pris en faute, je cède finalement à sa demande orale et physique, tout mon corps se raidit et je lâche le gouvernail. C’est une libération quand ma semence se déverse en plusieurs jets dans cette chatte survoltée. Je ne suis plus qu’un phallus, le temps n’existe plus. Je suis aveugle et sourd, dévasté par la puissance de l’orgasme.
    
    — Oui Olivier ! Continue comme ça... surtout, ne t’arrête pas ! Je sens ton foutre tellement chaud et épais. Mais je suis sûre que tu as encore de la réserve...
    
    Mais malgré l’anneau, mon tuyau baisse un peu de la tête, gardant pourtant un diamètre inusité. Alors Sylvie, me regardant droit dans les yeux, s’agenouille et prend ses seins à pleines mains, les soulève et coince mon sexe entre eux où il disparaît complètement, faisant se toucher ses mamelons durcis et sensibles et commence une branlette espagnole.
    
    Je pose mes mains sur sa tête, accompagnant doucement chaque aller-retour entre ses seins de ma verge de nouveau ragaillardie, sa langue venant régulièrement toucher le bout de mon gland ...
    ... turgescent quand elle se penche pour lécher mon sexe.
    
    Mon esprit est déconnecté, mon corps mène sa vie propre, il n’y a que mon cerveau reptilien qui domine encore mes bas-instincts. Sylvie relâche ses seins et saisit mon sexe redevenu si dur par l’action de l’anneau entre ses petites mains et l’enfonce dans sa bouche en écartant ses mâchoires au maximum.
    
    Contrairement à Agnès, elle salive comme une démente et une couronne blanchâtre se forme sur ma hampe. Mon gland glisse sur sa langue, butant contre son palais jusqu’au plus profond de sa gorge.
    
    Elle serre les lèvres et commence un va-et-vient d’une lenteur exaspérante, enduisant mon membre d’une salive de plus en plus abondante et épaisse qu’elle finit par lui couler sur le menton et se répandre sur ses seins qui balancent mollement au rythme de sa fellation.
    
    Quand enfin elle me sent frémir, elle dépose un baiser tendre sur la tête de mon sexe, rendant hommage à mon stoïcisme avant de me demander, elle aussi, de m’étendre et de me chevaucher.
    
    Elle me branle énergiquement une dernière fois pour s’assurer que toute ma vitalité est concentrée dans ces quelques centimètres de chair. Elle prend ma queue à pleine main et tapote plusieurs fois l’entrée de sa chatte avec mon gland hypertrophié. Tchac, tchac, tchac... puis braque ma trique sur sa cible et en bonne cavalière, monte en selle et vient s’empaler directement sur ma hallebarde dressée en son honneur.
    
    A suivre... 
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