1. Vacances à la Réunion (1)


    Datte: 16/01/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Robinson33, Source: Xstory

    ... situation de rêve. Je restai collé sur son bas-ventre.
    
    Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle m’écarta de son sexe.
    
    Lui avais-je déplu ?
    
    ― Décidément, tu es doué mon chéri. Tu avais déjà caressé ainsi une femme ?
    
    ― Non, jamais, lui avouais-je.
    
    ― Et bien pour un coup d’essai, on n’est pas loin du coup de maître. Tu m’as donné beaucoup de plaisir.
    
    Elle laissa passer un silence, comme si elle cherchait ses mots.
    
    ― Tu sais, ce que tu as fait tout à l’heure, avec ta langue autour de mon anus. Toutes les femmes n’aiment pas cela. Mais moi si. Alors, si tu veux, tu peux recommencer.
    
    ― D’accord, répondis-je d’une voix rauque.
    
    Elle se retourna sur le ventre et écarta au maximum ses jambes, offrant son arrière train à ma vue et à mes caresses. J’y allai franchement, la langue en avant, les deux mains posées sur ses globes pour les écarter. L’éclairage de la chambre tombait directement à l’aplomb de ses fesses et aucune fraction de son anatomie n’échappait à ma vue. Ni à mon toucher, d’ailleurs, doigts et langue ne laissaient aucun centimètre carré inexploré. Je ne tardais pas à glisser un doigt dans son vagin, ma bouche toujours collée à son anus. Bientôt, mes dents remplacèrent ma langue dans mes explorations. Elle remuait les fesses comme pour mieux m’offrir son postérieur. C’est peu dire que j’aimais ça. J’étais très excité par ce double interdit : je léchais une partie du corps humain que la morale et la bien-pensance s’évertue à garder à ...
    ... l’écart des jeux sexuels. Et je menais cette exploration sur le corps de ma mère, avec son consentement actif. Je prenais mon pied. Je craignais de jouir à nouveau, spontanément sur les draps. Pour éviter cette catastrophe, ce fut moi qui mis fin à ce petit jeu. Je remontais mon visage à la hauteur de sa nuque. Mes mains remontèrent aussi le long de ses hanches jusqu’à ses seins. Elle se souleva un peu pour me permettre de les empoigner. Je lui mordillai le lobe de l’oreille et lui demandait doucement :
    
    ― Est-ce que tu as aimé ?
    
    ― J’ai adoré ! Mais pourquoi tu t’arrêtes ?
    
    ― Parce que je ne vais plus tenir très longtemps. Je voudrais te pénétrer et jouir en toi.
    
    ― J’avais oublié ce que c’était qu’un amant très jeune, dit-elle, amusée.
    
    ― Je suis désolé…, répondis-je, penaud.
    
    ― Non, il ne faut pas ! Je ne voulais pas te vexer ! J’adore cette fougue ! Et puis l’avantage, c’est qu’il n’y a pas longtemps à attendre avant que tu sois à nouveau opérationnel. Laisse-moi me retourner.
    
    Elle se mit sur le dos et écarta les jambes. Son vagin étant parfaitement lubrifié par mes explorations buccales précédentes, je rentrais en elle d’un seul coup. Je fis quelques va-et-vient. Je sentais une douce chaleur envahir mon sexe. Je passai alors à la vitesse supérieure, donnant de grands coups de boutoir. Elle se mit à gémir, de plus en plus fort. Puis elle lâcha un vrai cri de plaisir au moment où moi, je lâchai une armée de spermatozoïdes. Nous restâmes ainsi quelques minutes, ...
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