Je me croyais sage (10)
Datte: 15/01/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mrnestpasla, Source: Xstory
... me l’offrir. Je fais un premier va-et-vient qu’elle accueille d’un puissant râle de plaisir totalement primaire. Très vite, les râles sont remplacés par des « Oh oui » totalement assumés. Son anus est si serré autour de ma queue que malgré mon orgasme récent, je sens bien que mon contrôle sera mis à rude épreuve.
Notre rythme s’accélère, l’intensité des échanges aussi. Je sens son cul un peu moins serré, mais toujours aussi délicieux. Les râles et gémissements de Diane sont tels que je reconnais à peine sa voix. Je m’essaye à me retirer et revenir en elle, mais la largeur de ma bite me force à plus de douceur. L’effet n’en est pas moins instantané pour elle comme pour moi. Elle pousse un petit cri qui se finit dans un grognement de plaisir alors que ma bite reconquit son cul. Je recommence, nouveau cri, nouveau grognement. Je n’en peux plus. Mon excitation est telle que je n’ai plus aucune retenue, aucun égard pour elle. Je m’active en elle à la recherche de mon orgasme, jouant avec ce petit clitoris tout dur sous mes doigts. À mon tour de ...
... grogner, de râler.
L’imminence de mon plaisir semble intensifier celui de Diane. Encore quelques grands coups de queue, et soudain, je le sens, je jouis. Je grogne, je râle, tout mon corps se contracte, se crispe, chaque mouvement de mon sexe m’envoie une décharge telle que je manque de tomber sur Diane qui laisse s’échapper un long gémissement, ses seins ratatinés entre ses mains.
Je me laisse retomber sur elle. La tête me tourne, mon sexe semble d’une sensibilité insoutenable. Alors qu’il jaillit du cul de Diane, il m’envoie une nouvelle décharge électrique dans le dos tandis que Diane soupire de plaisir à ce dernier passage de mon gland.
Je la prends dans mes bras.
— Mademoiselle est-elle satisfaite ? L’ai-je baisée comme elle le mérite ?
Diane se recroqueville dans mes bras.
— Mieux encore. Je me suis senti une vraie petite chienne.
— Quoi ?
— Ta petite salope, mon chéri.
— Je... Ce...
Je ne sais pas quoi dire. Toujours ce sentiment d’avancer dans le brouillard sur un chemin mystérieux... Toujours aussi grisant !