1. j'ai déconné (5)


    Datte: 15/01/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Tassadare, Source: Xstory

    ... mais également de la détermination et de l’excitation. Le livreur tendit la main pour toucher ses fesses, le contact de sa peau sur la sienne la fit frémir. Un silence d’appréhension régnait dans ce couloir d’immeuble, je me penchai à l’oreille de Julie avant de lui susurrer :
    
    — Imagine que le voisin de ce matin repasse maintenant dans le couloir, il t’aura vue nue et en train de te faire fesser, il va te prendre pour une sacrée salope.
    
    Si précédemment, elle rougissait de gêne, elle devint écarlate après cette phrase, il me sembla la voir serrer les cuisses pour dissimuler son excitation.
    
    Slap
    
    La première fessée tomba sèche et raisonnant bruyamment dans le couloir, le livreur marqua un temps d’arrêt comme pour s’assurer que la jeune femme qu’il venait de frapper allait bien et n’avait pas changé d’avis. Une fois rassuré, il reprit son œuvre, la deuxième fessée puis la troisième s’enchaînèrent rapidement. Julie tenta tant bien que mal de dissimuler le feu qui grandissait entre ses cuisses. Lorsque le quatrième coup tomba, je crus que ses genoux allaient flancher, mais elle tint bon, à partir du cinquième, elle laissa échapper un soupir. Elle leva ses yeux débordants d’envie vers moi, j’attrapai un de ses mamelons pour le faire rouler entre mes doigts, lorsque le sixième coup tomba, je pinçai le téton. Julie gémit de manière audible et ses jambes la trahirent, et s’écroula à genoux, tremblante.
    
    Le livreur me jeta un regard interrogatif, d’un mouvement de tête, ...
    ... je lui fis signe de finir. Lorsque le dernier coup tomba, Julie tremblait comme une feuille, je la saisis par les cheveux et la tournai, toujours à genoux vers le livreur. Son visage était couvert de larmes, sa salive coulait encore le long de son menton, son excitation atteint un tel point qu’elle devait en être douloureuse.
    
    — Tu n’as rien à dire à monsieur ?
    
    Julie leva les yeux vers son bourreau, cependant, ils marquèrent un arrêt sur sa braguette qui n’échappa ni à lui ni à moi.
    
    — Merci de m’avoir punie, monsieur.
    
    Je fis signe à Julie de rentrer, elle avança tant bien que mal à quatre pattes. Puis je fis un dernier signe de tête envers le livreur en guise de salut avant de refermer la porte. Lorsque je me retournai, Julie était toujours au sol, se tenant les fesses écartées.
    
    — Je vous en supplie maître, baisez-moi, j’ai besoin de jouir, j’ai besoin de me sentir prise.
    
    A ce moment-là, ma seule envie fut de céder, de la souiller comme jamais, de la faire jouir au point de lui faire perdre connaissance. Mais j’étais guidé par mes vices, et ce, depuis toujours, à ce moment, je voulais vraiment voir quelles étaient ses limites, alors je tins bon.
    
    — Non.
    
    Julie se tourna vers moi, surprise, craintive même, elle ne comprit pas.
    
    — Mais pourquoi ?
    
    — Tu as reçu ta punition de la part du livreur pour ton manque d’éducation, mais pas la mienne, nous allons manger et après, tu rentreras chez toi, je t’interdis de coucher avec qui que ce soit d’ici lundi, ...