1. Moi Esclave (1)


    Datte: 15/01/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: dorcia, Source: Xstory

    ... c’était en train de se produire. Quelqu’un que j’estimais, jusque-là, supérieur à moi, était en train de me faire jouir !
    
    Pendant tout ce temps, Renaud est resté entièrement habillé, utilisant simplement son inventivité lascive pour me donner des orgasmes époustouflants. Avec le recul, je me rends compte maintenant que c’était une décision calculée de sa part. Il me donnait le désir de le vouloir autre... de vouloir de lui qu’il soit autre chose qu’un simple amant... d’avoir envie d’encore plus du bonheur sexuel qu’il était en train de me donner. En me mettant dans cette position, il m’obligeait à prendre la décision de me soumettre à lui, alors qu’à l’époque, je ne m’étais rendu compte de rien. Tout ce à quoi je pouvais penser était comment l’amener à me désirer encore plus, comment je pourrais, éventuellement, faire pour qu’il me donne encre plus de ces merveilleux moments d’orgasmes.
    
    Au bout d’un moment, il me sortit des coussins et, m’agrippant par les cheveux, me fit m’agenouiller devant lui et prendre sa bite, sa magnifique bite, dans ma bouche. Je l’ai fait volontiers, affolée du désir de lui plaire et j’ai fait de mon mieux pour satisfaire ...
    ... son impérieux désir. Renault m’apprit à lui faire plaisir avec mes lèvres et mes doigts première bite que j’ai appris à adorer, je devais distendre mes lèvres à cause de sa grosseur. Mais, il avait d’autres vues et il m’a fait m’arrêter avant qu’il ne jouisse. Cela me perturbait et m’excitait tout à la fois- Personne ne m’avait jamais traitée de cette façon, comme si j’étais un objet de pur plaisir... et, j’aimais ça.
    
    Il m’a demandé si je me soumettrais quoi que ce soit qu’il exigerait de moi... par exemple, s’il m’ordonnait de m’allonger sur le sol, le visage contre le sol sur le ventre, les bras et les jambes étendus, est-ce que j’obéirais. Sans hésitation et avec un engagement total, le regardant en face, avec joie, j’ai dit «oui, je le ferais». Une fois en position, il m’ordonna de ne pas bouger et il est sorti du bar, verrouillant la porte derrière lui.
    
    Je gisais, sur le sol glacé, mes pensées pour seule compagnie. Renaud allait-il revenir ? Pourquoi me laissait-il seule, ici ? Dans quel pétrin suis-je en train de me fourrer ? Combien de temps vais-je rester, sur ce sol glacé, nue, à la merci de n’importe quoi ? Pourquoi suis-je si excitée ? 
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