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Sans culotte je me sens tellement bien
Datte: 14/01/2022, Catégories: Première fois Auteur: Jpj, Source: Hds
Ça me vient de petite. Déjà alors je descendais la culotte de coton côtelé Petit Bateau sur mes chevilles et l’otais, pour un peu d’air sur mon abricot pour un peu de liberté. C’est si bon la Liberté quand on est petite… Je rangeais le chiffon blanc dans mon cartable, just’à coté de la trousse à crayons. Pour la rechausser le soir avant de rentrer à la maison. Pour que personne n’en sache. Surtout pas maman. Il n’y avait alors pas affaire de garçon. Les garçons en ce temps là je n’en n’avais rien à faire. Vaquer cul nu était mon secret mon bonheur ma Vérité. Alors aujourd’hui je puis vous dire que je reste fidèle à mes engagements de gamine. De culotte nenni. Mon intimité s’est ouverte et de l’abricot bien lisse de l’enfance est sorti en mue le papillon plissé. Et puis les poils longs et frisés sont venus cacher tout ce fatras en une touffe épaisse d’adolescente saine et sportive. Gaie et rieuse. Moi. Alors pourquoi prétendre emballer tout ça en culotte ? J’étais si bien sans … que ne le resterais-je ? Me garer des garçons ? Mauvais prétexte. Les garçons ne sont pas à craindre. Du moins pensais-je ainsi en ce temps-là. Qui donc ici à nos âges craint les garçons ? Et pourquoi donc en serait-il ainsi ? Qu’auraient-ils donc ces garçons dont nous devrions nous garer, nous garder ? Enfin toujours était-il, en ces temps-là, que je vaquais en toute ingénuité la fente à l’air libre et dans le parfait bonheur, la parfaite simplicité. J’étais vêtue ...
... de robes simples ou de jupes. Rarement de pantalons. Parfois au sport, l’affaire de la culotte « oubliée « posait un petit problème de vestiaire mais je m’en sortais habilement en enfilant le short par dessous mes jupes avant de dégrafer celles-ci. Et pareil en réciprocité. Mes années collège sont passées sans anicroche aucune, personne n’ayant jamais découvert mon secret, ni les copines ni les profs non plus. C’est au lycée que tout a changé. Les amitiés particulières de petites jeunes filles m’ont rapprochée à plusieurs reprises de copines tendres et caressantes. Et qui furent toutes étonnées de découvrir le velu d’entre mes cuisses sous leurs doigts inquisiteurs sans protection ni emballage. Et moi je les serrais de mes bras solides pour ne pas qu’elles s’échappent, choquées de mon impudeur. Mais elles ne s’échappaient pas, pas du tout. Elles restaient subjuguées de mon audace et se régalaient de leurs doigts glissants dans mes villosités gluantes. Combien en ai-je converties en ce temps-là ? Combien de ces filles de première ou de terminale ont jeté leurs slips aux orties ? Et puis le bonheur est venu, après le bac, avec les garçons. Les garçons, c’est comme le bon vin, c’est bon de la première goulée jusqu’à l’ivresse finale. Les garçons c’est la vie, c’est notre vie. Aujourd’hui je ne porte jamais de culotte. Jamais de soutif non plus. Je suis une fille écolo, quasiment végane convertie au bio. Toute nue toujours sous mes robes, ouverte à toute ...