1. Nuit Nordique


    Datte: 09/08/2018, Catégories: Anal Gay Masturbation Auteur: MG1228, Source: xHamster

    ... Ulrich le saisit et le porta à sa bouche pour lécher ces gros doigts tout collants. Il avait été pris de violentes contractions pendant son orgasme, si puissantes qu’elles avaient obligé le nordique à se retirer ; le viking avait bien cru que le petit gars allait lui broyer le dard. Il l’allongea sur le dos, sans se préoccuper de la semence répandue sur la couverture. Le jeune homme écarta de nouveau les jambes, mais le forgeron se contenta d’y enfoncer un doigt pour combler le manque éprouvé par son partenaire.
    
    Kalle s’installa à califourchon sur Ulrich et astiqua vigoureusement sur son instrument en gémissant. Ses grosses bourses écrasaient les abdominaux du jeune homme. Le jeune homme vint caresser le torse puissant et viril du viking, lui étreindre les pectoraux et lui pincer les tétons – si épais qu’il dut serrer avec toute la force qu’il lui restait dans les mains. Les doigts du forgeron lui limaient le cul et lui massait la prostate avec tellement d’énergie que son sexe fut pris d’un sursaut soudain et déchargea une ou deux giclées résiduelles, plus claires et liquides.
    
    L’artisan ouvrit grand sa mâchoire monumentale, exhiba ses dents blanches, rejeta ses longs cheveux blonds en arrière, poussa un cri monstrueux, se contracta et inonda le torse imberbe d’Ulrich. Le jeune garçon vit la semence épaisse et collante voler dans les airs avant de retomber dans le creux de son cou, sur ses abdominaux, dans son nombril. Le premier jet ne fut pas le plus violent, et ...
    ... pourtant il vint s’écraser sur son menton. La substance poisseuse dégageait une odeur enivrante, masculine et musquée, plus forte encore que la sueur qui ruisselait sur le torse du forgeron. Lorsque ce dernier eu fini de déverser son plaisir, Ulrich passa un doigt sur son large méat pour récupérer les dernières gouttes de sève et les étaler sur ses lèvres. Il passa ensuite sa langue dessus et savoura le goût prononcé de ce repas – bien moins fade que le ragoût qu’un lui avait servi un peu plus tôt.
    
    Sans un mot, Kalle se leva et retourna sans sa forge, nu comme un ver. Ulrich ne prit pas la peine de se nettoyer. Il se remit sous les couvertures, toujours poisseux. Il passa régulièrement sa main sur son torse pour prélever des restes de la liqueur viking et les savourer. Il finit par se rendormir comme un bébé qui aurait eu sa dose de lait avant de se coucher.
    
    Pour la première fois depuis des années, Kalle ressentit le besoin de s’étendre dans son lit cette nuit-là. Il souleva la peau d’ours et s’allongea contre Ulrich. Sa verge à-demi molle, mais toujours imposante, vint se loger dans la raie encore humide du jeune homme. Les bras puissants du viking l’entourèrent ; il serrait contre lui ce métal précieux qu’il avait adoré travailler au corps.
    
    Le lendemain matin, lorsqu’il se réveilla, le forgeron ne trouva aucune trace de ce qui s’était produit la veille. Plus d’Ulrich, plus de sperme séché sur la couverture poilue. Pourtant son propre sexe et son pubis étaient recouverts ...