1. COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le début de la fin, quoique... (2/3)


    Datte: 09/01/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Un seul problème, quand je la quitte et que je me retourne, pourquoi ai-je repensé à Livio le gondolier italien ?
    
    Pourquoi ce bel Italien, fait-il l’amour à ses nombreuses maîtresses ?
    
    Pourquoi une telle pensée me vient alors que je viens de faire jouir Iris en la prenant par-derrière et que j’ai moi-même déchargé de longs frissons remontant le long de ma colonne vertébrale ?
    
    Au matin, devant le café et les tartines que l’amour de ma vie m’a préparé, je repense à ce moment intense de la nuit.
    
    Est-ce que ce voyage seul à Berlin sera l’occasion de devenir un mari cocu ou un mari adultère comme Livio semblant sauter sur tout, ce qui bouge ?
    
    Ai-je des envies de tromperies, de libertés ?
    
    Pour chasser ces pensées hors de ma nature, Iris passant vers moi dans son déshabillé plus que déshabillé, je passe ma main entre ses plis trouvant sa chatte blonde libre de toute entrave.
    
    • Vieux lubrique, cette nuit, tu m’as pris comme un soudard, mais j’avoue que j’ai particulièrement aimé.
    
    Maintenant, une journée de travail est devant nous, alors libère ta main de mon vagin.
    
    C’est vrai, mes doigts, trois à ce que je sens, baignent dans mon sperme et sa cyprine, car nous déjeunons toujours avant d’aller prendre notre douche.
    
    Elle devant moi derrière, elle est bien obligée de céder sous l’eau qui ruisselle sur nous.
    
    En baisant comme des bêtes, j’espère effacer l’impression de l’avoir déjà trompée par mes pensées malsaines.
    
    C’est dans nos voitures et par ...
    ... portable interposé que nous continuons notre conversation.
    
    Je sais un couple, un même travail et prendre deux voitures, c’est un peu ridicule.
    
    Mais nous aimons tellement conduire tous les deux que c’est tout naturellement que nous prenons nos deux voitures, restant en contact par téléphone.
    
    Le jour fatidique arrive vite.
    
    Je dois partir mercredi matin et revenir par le premier vol du jeudi.
    
    De leur côté les réunions de mon père et d’Iris sont en place.
    
    Monsieur Jacques est briffé, leur réunion devant avoir lieu en fin d’après-midi.
    
    Je pars serein, notre séparation se faisant dans les larmes.
    
    Je prends la route vers l’aéroport dans ma propre voiture.
    
    Vol sans histoire, je passe mon temps à regarder les seins d’Iris que j’ai sur mon portable dans la galerie.
    
    Ces photos, je les ai faites l’autre soir alors que nous étions seuls au bord de la piscine que j’avais montée en kit.
    
    Assez pudiques en temps normal, elle comme moi, nous avons profité du soleil couchant pour sauter dans l’eau fraîche pendant cette canicule.
    
    C’est elle qui a fait tomber le haut, d’où cette première photo.
    
    J’ai posé l’appareil avant d’enlever le bas et de plonger attendant qu’elle me rejoigne.
    
    Hélas pour moi, le temps que je fasse quelques brasses sous-marines dans cet espace restreint, lorsque je suis ressortie, c’est ses pieds que j’ai vus pénétrer l’onde fraiche.
    
    Je me suis vite rattrapé quand reprenant pied, je l’ai reçue contre moi.
    
    Il est drôle de constater ...
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