1. Nathalie s'enflamme au musée


    Datte: 09/01/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Mekron, Source: Hds

    ... orgasme étant sur le point de me dévaster.
    
    « Hum ! Ha ! HO ! YVHHAAAA ! GHAH ! »
    
    Il est à quelques centimètres et je sens ses doigts se glisser dans ma culotte. D’un geste sec il l’arrache complètement et je laisse échapper un cri perçant, que j’essaye de ravaler immédiatement. Ses gestes sont simples, précis, directs, efficaces et je le regarde faire, impuissante, incapable de bouger. Il immisce ses doigts dans ma chatte et je hoquette et retiens mon souffle. Ses magnifiques doigts s’enfonce et attrape l’objet de torture. Il le retire lentement et j’entends les bruits de succion qui accompagne le geste. Il l’amène à mes lèvre et je le prends en bouche et le suce avec délectation. Le goût de mes propres sécrétions est un délicieux stimuli de plus vers mon orgasme et j’en profite pour luis lécher les bouts des doigts. Tout accaparée par la scène, je ne le vois pas sortir sa magnifique queue. Il me déplace alors sur le côté pour me plaquer contre une cloison et, d’un magistral coup de rein, s’empale en moi complètement. C’est l’action qui scelle le déclenchement de mon orgasme titanesque qui me pulvérise en des milliards d’atomes. Je lui mords l’épaule pour étouffer mes cris et je l’entends grogner de douleur de de plaisir, alors qu’il me prend de ses mouvements à la fois amples et lents tels qu’il les maîtrise si bien et qui me font tant d’effets. Je suis complètement perdue, ma raison a déserté le navire de mon esprit et je navigue à l’aveugle dans un brouillard de ...
    ... jouissance primaire. Chaque cellule de mon corps est entrée en éruption et j’ai l’impression de me consumer. Alors que je pense que mon orgasme va décroître, il accélère et me prend de plus en plus vigoureusement. Je ne sais plus où je suis, je ne sais plus qui je suis, je veux juste qu’il ne s’arrête jamais. Que cet instant de plaisir incommensurable n’ait pas de fin. Je ne retiens plus rien et gémis, pleure, crie ma jouissance.
    
    Lorsque la porte du paradis se referme lentement et que je reprends un peu le contrôle de mon être, je l’embrasse de toutes les forces qu’il me reste, en y mettant toute la passion que je ressens à cet instant mirifique. Il me répond et notre baiser n’a jamais été aussi fusionnel alors qu’il est encore en moi et que ma chatte est complètement crispée autour de sa queue qui tressaute et éjacule en moi. J’accueille chaque onctueuse giclée avec des exclamations étouffées par notre baiser endiablé. Le sang me bourdonne encore aux oreilles lorsqu’il se retire. Il se rhabille rapidement et sans un mot me laisse seule dans la cabine. Je m’assois sur les toilettes et sens son foutre s’écouler hors de ma matrice à vif. La sensation est délicieusement obscène et je ne peux retenir des soupirs de bonheur. Il me faut de nombreuses minutes pour revenir sur terre. C’est alors que je m’aperçois de l’état dans lequel je me trouve. Je suis trempée de sueur. Je remets ma tenue autant que possible et sors de la cabine. Je suis soulagée d’être seule. Je m’approche des ...