1. Expatriés


    Datte: 01/02/2018, Catégories: fh, fhh, hbi, hsoumis, Oral Partouze / Groupe hsodo, jouet, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... délicat puis fougueux. Lise retrouve son mari. Il la caresse. Elle le caresse. Elle défait la serviette qui ceint ses reins. Elle est pourtant un peu déçue de ne pas découvrir le sexe en érection, à peine gonflé.
    
    Elle décide de lui faire le grand jeu. Elle pousse Marc sur le lit, s’agenouille devant lui et entame une parade amoureuse auquel peu d’hommes peuvent résister. Avant, la verge de son mari était tout de suite érigée en bâton dur et fier, aussi, avantage de sa faiblesse, elle apprécie maintenant de pouvoir prendre ce morceau de chair vivant, mais encore endormi entre ses lèvres. Elle ne connaissait pas ce plaisir, mais c’est délicieux de pouvoir gober l’engin jusqu’aux couilles et attendre, avec juste quelques coups de langue que la bête se réveille, s’ébroue et se dresse enfin au point que le gland qui bute au fond de son palais repousse millimètre après millimètre jusqu’à ce que la gorge ne puisse conserver qu’une bonne moitié de la queue maritale. Elle le pompe, elle le suce, elle lui caresse les couilles dont la peau se tend. Il est dur. Marc gémit. Il est prêt.
    
    Elle se relève et dans un geste provocateur, s’arrange pour que ses seins s’extirpent du soutien-gorge qui maintenant mérite plus que jamais son nom, faisant de sa dentelle une base amplificatrice.
    
    Alors elle avance, enjambe son mari, repousse le tissu de sa petite culotte pour dégager sa fente, et vient s’empaler sur la queue brillante. Elle adore cette position. Elle est maîtresse de son ...
    ... plaisir. Elle ondule sur le pieu de chair. Elle se tortille comme pour vérifier la vérité de ce qui la prend. C’est seulement après qu’elle commence sa danse, montant et descendant sur la queue qui glisse sans peine dans sa chatte grasse d’envie.
    
    Mais très vite elle déchante. Il lui semble que le bâton se transforme en roseau ployant sous sa charge. Son mari débande. L’érection diminue et maintenant ce n’est plus qu’une verge à peine gonflée.
    
    Lise, si elle est étonnée ne désespère pas. Elle se replace à genoux et reprend ses caresses buccales. Très vite la verge regonfle, mais le demi-échec d’avant l’inquiète. C’est alors que lui revient en mémoire une confidence de femme. Elle lui avait confié que pour exciter son amant, elle lui massait la prostate. Lise n’a jamais essayé avec Marc, car il ne semblait pas demandeur de cette caresse. Mais aux grands maux les grands remèdes. Lise enduit son index de salive et l’introduit très doucement dans l’anus de son mari. La queue qu’elle conserve en bouche semble réagir. Une sorte de vibration.
    
    Elle s’enhardit. C’est maintenant tout son doigt qui encule son homme. Il est évident que Marc réagit à cette caresse. Elle entend un « Lise, qu’est-ce que… » qui ne va pas plus loin. Maintenant elle cherche la glande. Elle la caresse. Plus de doute la queue réagit. Ainsi, c’est vrai. Lise devient plus audacieuse. Maintenant elle essaye d’ajouter le majeur. L’anus ne proteste même pas. Elle encule son mari. Il apprécie. Il apprécie d’autant, ...
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