1. Expatriés


    Datte: 01/02/2018, Catégories: fh, fhh, hbi, hsoumis, Oral Partouze / Groupe hsodo, jouet, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... beaucoup plus fort que d’habitude. Pourtant le réglage est le même. Elle comprend que le gode enculeur résonne avec son compère et amplifie la sensation.
    
    — Aaaaaaahhhhhhh….
    
    Son clito bondit hors de sa gaine dès que l’excroissance démarre. C’est insoutenable. C’est bon. C’est fort. Tout son corps participe. Elle se force à garder ses jambes en appui, car elle n’a qu’une envie, c’est de se recroqueviller pour engloutir les deux monstres en elle. Elle cherche même à appuyer sur la langue vibrante pour améliorer encore le contact sur son clito. Le plaisir est là. Elle ferme les yeux pour mieux en profiter. Il augmente. Il augmente. Combien de temps cela dure-t-il ? Une seconde ? Une minute ? Une heure ? Elle n’est que plaisir. Elle coule. Même son cul doit ruisseler. La jouissance arrive. Elle l’attendait, mais ne pensait pas à un tel déferlement. C’est bon…
    
    Elle ouvre les yeux. C’est bien elle, les cuisses encore ouvertes, le con et le cul encore occupés. Et puis une impression. Une ombre qui bouge et en regardant plus haut c’est un visage qui apparaît dans le miroir. Elle sursaute. C’est Abiou, la bonne, qui regarde. Depuis combien de temps est-elle dans la pièce ? C’est ridicule de se poser la question, car sa position ne lui cache rien.
    
    Que dire ? Que faire ? S’excuser ? Elle a honte de se faire surprendre dans cette attitude si perverse et cochonne.
    
    Mais Abiou bouge. Elle fait comme si de rien n’était. Elle s’occupe de ranger le lit.
    
    Lise se retire les deux ...
    ... godes. Ils luisent de ses liqueurs. Elle se sent vide tout à coup. Et puis Abiou s’en saisit.
    
    — Donne-moi, Mam’Lise. Je vais les laver.
    
    Et comme si tout était naturel, elle va dans la salle de bain. Une minute plus tard, elle tend les jouets à Lise qui s’est levée et a revêtu une robe de chambre.
    
    — Msieu’Marc est malade ?
    
    Lise met un moment à comprendre la question.
    
    — Je ne sais pas… Non… Pourquoi ?
    
    Abiou regarde les deux godes. Son expression est évidente. Elle demande :
    
    — Il ne te fait plus l’amour ? Pourtant au début… Tu promets Mam’Lise de ne pas me gronder ?
    — Bien sûr, parle.
    — Chez moi, on dit que la femme qui se voit gazelle, trouve forcement en face d’elle l’homme lion.
    — Et alors ?
    — Au début, j’entendais souvent l’homme lion dans ta chambre qui donnait du plaisir à la gazelle. Souvent j’ai même poussé la porte pour regarder le lion jouer avec la gazelle jusqu’à ce qu’elle pousse ses petits cris de plaisir. Mais maintenant je n’entends plus rien et je sais que presque chaque matin la gazelle doit se débrouiller toute seule.
    
    Lise hésite entre la colère et la honte de se savoir si transparente aux yeux d’Abiou. Mais à quoi bon lutter et crier. C’est un autre monde et sa bonne est pleine de bonne volonté.
    
    — Non, il n’est pas malade… Enfin, je crois. Peut-être qu’il a trouvé une autre femme. Vous êtes si belles. À l’usine, peut-être…
    — Non, il n’a pas de maîtresse. Je le sais, dit la bonne.
    — Comment cela, tu le sais ?
    — J’ai demandé à ...
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