1. Justine ou une descente aux enfers (1)


    Datte: 08/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Fantasme 13, Source: Xstory

    ... il t’a parlé de ce qu’on a fait ?
    
    — Bien sûr, avec mon frère on se dit tout.
    
    —
    
    Justine rougit.
    
    — Tu sais... Mes parents ne m’ont jamais parlé du comportement qu’une fille doit avoir avec son petit ami.
    
    — Bon je vais t’expliquer, d’abord tu dois plus dire mon petit ami, c’est dépassé, tu dois dire mon mec.
    
    — Ah bon ?
    
    — Ben oui, dans le quartier, on dit comme ça, on n’est plus au dix-neuvième siècle. Alors tu veux savoir ce que tu dois faire avec ton mec ?
    
    Elle baissa les yeux.
    
    — Oui...
    
    — C’est simple, tu dois lui faire plaisir, un garçon a des besoins sexuels et c’est ton rôle de le satisfaire !
    
    — Ah bon...
    
    — Bien sûr et c’est ton mec qui décide, tu comprends ?
    
    — Euh... Et si j’en ai pas envie ?
    
    — Qui te parle d’envie, un mec quand il a envie de sa gonzesse, il la prend c’est tout, point barre !
    
    — Oui, mais moi je ne fais pas partie, comment dire, de votre monde, dans cette cité.
    
    — Tu t’adapteras, Momo il se mariera jamais avec toi si ça peut te rassurer, vous sortez ensemble et ça s’arrête là, mais en attendant, tu dois suivre nos règles.
    
    — Quelles règles ?
    
    — C’est simple, maintenant que tu es sa meuf, tu dois plus regarder un autre garçon, ton mec c’est Momo et c’est tout, si un autre mec te parle, tu dois pas lui répondre.
    
    — Ah bon ?
    
    — Bien sûr puisque t’es sa meuf, tu fais ce qu’il te dit.
    
    — Ah...
    
    Le visage de Justine était devenu pourpre, Samira avait souri.
    
    — T’as compris ?
    
    —
    
    Justine ne répondit ...
    ... pas.
    
    —
    
    Le lendemain soir à la sortie du lycée, Momo lui demanda de le suivre, arrivés devant leur immeuble, ils se dirigèrent vers les caves, elle était anxieuse.
    
    — Où va-t-on ?
    
    — T’inquiète, viens.
    
    Arrivés au bout d’un couloir sombre, il poussa la porte en bois d’une cave.
    
    — C’est la nôtre, on sera plus tranquilles.
    
    —
    
    Il avait installé un matelas à même le sol sur lequel il avait au moins pris le soin de mettre un drap propre. Sans répondre aux questions qu’elle ne lui avait pas encore posées, il la prit par la taille, la serra vers lui et lui fourra à nouveau sa langue dans la bouche, elle était fébrile, livide, elle se sentait glisser dans une pente tragique, mais n’avait pas la force de résister, en avait-elle l’envie seulement ? Mais elle avait décidé de faire confiance à son petit ami, son «mec» comme il fallait qu’elle dise...
    
    Il fut plus tendre, déboutonna son chemisier sans décoller ses lèvres des siennes, lui caressa les seins délicatement, faisant passer ses doigts sur ses beaux galbes puis il se baissa et l’invita à s’allonger près de lui, là il la déshabilla complètement, sa petite chatte peu velue offrait l’apparence d’un abricot, un abricot délicieux prêt à être cueilli.
    
    Sans lui demander le réciproque, il glissa ses lèvres le long de ce corps fin et racé, il respira la touffe de son pubis puis introduisit sa langue sur son bouton d’amour, il la fit tourner dessus et autour, elle poussa des petits râles, son sexe devenait humide, il ...
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