1. Je me tape la mère de mon pote...et plus si affinités (1)


    Datte: 06/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Galaxie55, Source: Xstory

    ... restons donc à discuter un moment avec Prune près des fourneaux. L’odeur du plat qui mijote doucement fait grogner mon ventre, il n’en faut pas plus pour qu’elle m’invite à manger ce midi.
    
    Nous inspectons chacun de ses mouvements, fascinés pendant que cette belle femme s’affaire. J’aperçois la base de ses fesses, quand elle se grandit pour attraper des épices en haut de la hotte. Maintenant Prune frotte la table, sa poitrine rebondit, me rendant béat. Est-elle consciente de s’offrir à ma vision ? Je me délecte du spectacle, mon regard passant par le col de la nuisette. Mais le mieux, reste quand elle prend des casseroles dans le placard du bas, j’y distingue nettement une vulve toute lisse.
    
    — Vous mettez la table les garçons ?
    
    — Oui ! Répondons nous en cœur.
    
    Je peine à me lever sans que mon excitation ne se remarque. Je met la table tant bien que mal, frôlant par moments la chair de cette femme. J’hume son parfum boisé et agréable, quand elle me fouette de ses cheveux en se retournant brusquement. Puis me rassois, le membre encore dressé caché par mon long tee-shirt, quand débarque le beau père, tout chétif et pleins de cernes.
    
    — C’est toujours pas prêt ? Ça fait déjà dix minutes que je suis debout ! Et mon Doliprane il arrive tout seul ? Grogne-t-il, en montrant du doigt un verre désespérément vide.
    
    — Calme toi chéri, on a un invité tout de même ! s’indigne Prune, en s’affairant à combler sa demande.
    
    — Et tu es dans cette tenue ? Va te changer ! lui ...
    ... commande-t-il.
    
    Il se tourne vers moi et me crache:
    
    — Et toi tu fais quoi ici ?
    
    — Votre femme a eu la gentillesse de m’inviter à manger. Et au vu du travail qu’elle s’est donnée pour préparer ce repas, c’est la moindre des choses que d’accepter. Y voyez vous un inconvénient Jean Paul ? Tranchai-je, en croisant les bras.
    
    — Bon, tu manges et tu te barres, marmonna-t-il, avant de s’affaler sur la table.
    
    Après un repas dans une ambiance tendue vite avalé, je sors un peu dégoûté qu’une si belle fleur, soit dans les bras d’un aussi vil personnage. Je rejoins Damien avec ma voiture à son endroit de pêche.
    
    — C’est un connard ton beau père, constatai-je.
    
    — Tu m’étonnes ! Et là il était bien luné...
    
    — Et ta mère, comment elle fait pour le supporter ?
    
    — Je n’en sais rien. Elle a déjà essayé de le larguer, mais il revient toujours en pleurs, plus bas que tout, dit-il, dépité.
    
    — Et elle, elle craque. Complétai-je, en levant les épaules.
    
    — Ouais. Ça fout la rage.
    
    — Ho, une touche ! Signalai-je, en me ruant sur la canne.
    
    Quelques poissons plus tard, nous nous décidons à partir en direction de la fête foraine et nous croisons Rémi, un brin tendu.
    
    — Salut, pas la grande forme ? l’accueille Damien.
    
    — Tu es tout pâle mon petit Rémi, que t’arrive-t-il ? Me souciai-je.
    
    — Ça ce voit tant que ça ?
    
    — On dirait que tu as croisé un mort ! S’exclame Damien.
    
    — En fait, hier tout se passait bien, le plan à trois le plus torride de tous les temps...
    
    — ...
«1...345...15»