Une rencontre un peu particulière (5)
Datte: 06/01/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: Kama666, Source: Xstory
... suis beaucoup moins large que toi.
Le plaisir de mon « amante » m’encourage. C’est la première fois que je caresse ainsi une femme, les quatre doigts bien en place s’allongent jusqu’à frôler le fond du vase, je ne veux pas la brutaliser, je reviens avec deux doigts sur le point G.
— Line ! Viens plus profond, ouvre-moi, je suis prête !
Je la taquine encore un peu avant de sortir, de mettre mon pouce dans la paume, les autres doigts allongés et serrés pour former une pointe de lance. Les phalanges se plantent facilement, la jonction des doigts bloquent sur les petites lèvres. Lentement comme une tête de forage la main tourne sur elle-même, la pression s’accentue, mon autre main retiens les grandes lèvres qui ont tendance à s’enfoncer dans le vagin, encore un peu de salive comme lubrifiant, de patience, de pression et …
— Aaaaaaaaah... Line !
Je suis en elle, je touche le fond du vase, je découvre l’inconnu : tout au fond une sorte de gros gland arrondi et allongé fendu d’un orifice au sommet tout semblable à un pénis, aussi doux peut-être un peu plus gros. Je prends beaucoup de plaisir à le tripoter du bout des doigts.
Pendant ce temps Sandra connaissant mes dispositions, éloigne un peu mon bassin de son visage, à mon exemple plante ses doigts dans mon sexe couvert de salive et de cyprine après son long cunni et c’est moi qui m’empale sur son bras. Facilement sa main est en moi, je la sens tout au fond s’occuper de mon utérus comme d’une bite, titiller le col ...
... comme un méat.
Toutes les deux nous nous amusons à répercuter sur l’autre les attouchements ressentis. Tout en restant soudée, Sandra me pousse sur le flanc et nous voilà en tête-à-queue, face à face, notre tête reposant sur la cuisse de l’autre, ouvrant le compas de nos cuisses au maximum. Nos gémissements s’amplifient, je suis la première à jouir et Sandra ne tarde pas. Nous restons encore un moment ainsi, je retire ma main, son sexe reste béant, offrant à ma bouche tous ses secrets. Je m’en régale, le rose intérieur de ses lèvres tranche sur le brun de sa toison qui ressort plus sombre. On lèche, on embrasse, on suce, on nettoie le sexe de l’autre, on se régale de ses sécrétions.
Après un temps de contemplation, elle se retourne et vient s’allonger sur le côté face à moi, on sourit. Toute sa bouche, son menton, son nez sont couverts de mouille, de salive. Je l’embrasse à pleine bouche avant de lui faire sa toilette par petits coups de langue à l’image du chat.
Nous restons ainsi un moment l’une face à l’autre sans parler, on se regarde, on se sourit, sa jambe se place à ma taille, je sens à nouveau sa toison humide contre ma hanche :
— Line tu ne connaissais peut-être pas l’amour au féminin mais tu es une amante merveilleuse et tu m’as fait merveilleusement jouir.
— Toi Sandra, outre l’amour au féminin, entre le goût de l’urine et la chaleur de la fessée tu m’as fait découvrir de merveilleux plaisirs.
— Tu n’as jamais été fessé ?
— Pas vraiment, juste ...