1. Nymphomane, moi ? Tome II (2)


    Datte: 05/01/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... Bob, je sentis son gland forcer pour écarter mes petites lèvres, il poussait régulièrement... Je regardai mon mari, qui les yeux écarquillés, filmait machinalement la scène en se branlant avec force.
    
    — Salope, salope ! répétait-il comme une litanie. Salope, tu m’excites, je vais jouir !
    
    Bob me caressait les seins sans trop bouger, laissant l’énorme phallus de son copain envahir mon vagin. Il jaillit plusieurs fois hors de mon conduit vaginal pourtant bien dilaté et Fred enfilait à nouveau son sexe monstrueux en riant. Il attrapa mes chevilles et écarta plus largement mes jambes. Il gagna plusieurs centimètres. Il ne pouvait pas entrer toute la longueur... Il commença ses va-et-vient, qui me firent hurler de plaisir. Son pouce frottait doucement mon clitoris... chaque pénétration lui faisait gagner des centimètres.
    
    — Tu as vu ? dit Fred en s’adressant à mon époux, elle aime ça, les grosses bites ! Ça l’a fait grimper au septième ciel ! Tu l’as déjà contentée comme ça ? Regarde comment on prend son pied !
    
    L’orgasme me tomba dessus telle la foudre sur un paratonnerre. Je me cambrai, tétanisée, hurlant mon plaisir. Les contractions de mon vagin expulsèrent le sexe de Bob et le chemin ainsi dégagé permit à Fred d’un puissant coup de reins d’entrer jusqu’à la garde son monstrueux phallus. Mes parois étaient si distendues que c’est tout juste si je sentis les puissants allers et retours de son colosse de six centimètres de diamètre et son drôle de gland me frotter les ...
    ... parois vaginales. Il se coucha sur moi. Ses lèvres lippues aspirèrent le téton de mon sein droit dur comme du bois, puis mon aréole boursouflée et gorgée de sang. Il me sembla que l’on me plantait une aiguille rougie sur le bout de mon sein ; il venait de mordre le mamelon et cette douleur décupla mon plaisir. Je hurlai à nouveau, j’attrapai sa tête entre mes deux mains, ma bouche se plaqua sur la sienne, ma langue envahit profondément sa cavité buccale.
    
    Il me tenait fermement aux hanches, comme pour m’empêcher de lui faire perdre un centimètre de sa colossale pénétration.
    
    Il explosa à son tour, éjaculant sa semence à grands coups de reins. Son phallus semblait doué d’une vie propre dans ma vulve. Ce grand boa avait trouvé son repaire, le nid chaud douillet et humide qu’il semblait ne plus vouloir quitter et qu’il remplissait du nectar de la vie...
    
    Fred me caressait les cheveux et me bécotait le visage tendrement :
    
    — Es-tu heureuse que j’aie éjaculé en toi ? Et vous, vous avez filmé sa jouissance ? C’était vraiment super.
    
    Il n’avait pas sorti de ma chatte son énorme phallus, qui désenflait doucement et continuait un léger pompage dans mon vagin. Je sentis que l’on me mettait une bite dans la main. Ce ne pouvait que mon mari.
    
    — Salope, je vais jouir, je vais jouir, branle-moi ! Vite, vite !
    
    Il éjacula dans ma main.
    
    — Lèche son sperme, m’ordonna Fred.
    
    Je lui obéis et suçai mes doigts poisseux.
    
    — Hé, les enfants, j’ai une grosse envie de sodomie, dit ...