1. Salope de belle-fille (7)


    Datte: 09/08/2018, Catégories: Hétéro Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... ta fille, une vraie pisseuse !
    
    — J’ai tellement envie de toi !
    
    Elle ouvre le compas de ses jambes, appelant ma langue à la faire jouir encore et je m’en donne à cœur joie, n’étant pas radin sur l’énergie dépensée, elle est de nouveau transportée dans un torrent de plaisir...
    
    Ma main claque avec vigueur sur sa fesse droite charnue qui rougit violemment. Je me gorge de sa cyprine, lui bouffant la chatte un bon moment, un doigt s’égarant, tantôt le long de son sillon pour titiller son petit trou, tantôt retournant entre ses cuisses pour farfouiller dans sa chatte.
    
    — Ouvre-toi bien... Je vais t’ouvrir de ma queue et je veux te sentir jouir... Que tu mouilles encore, espèce de salope !
    
    — Oh oui, j’ai envie de ta grosse queue !
    
    Je me déshabille et la prends sauvagement, la transperçant longuement de mes coups de boutoir, elle jouit encore et toujours, et je lui donne de nouveau ma liqueur en jets brûlants qui se perdent dans un puits de mouille. Elle m’a tellement chauffé que je ressens à peine la fatigue. Ma queue baisse un peu la tête, mais en brave bête, n’attend qu’un nouveau stimulus pour travailler.
    
    Pour reprendre un peu de force et ne pas la délaisser, un doigt, puis deux partent préparer le terrain du côté de son cul. Sylvie a l’air d’apprécier et se mit à quatre pattes, la tête posée sur l’oreiller.
    
    — Prends-moi, je suis à toi et mon cul aussi !
    
    Ma bite qui a repris du poil de la bête, tendue comme un arc, se pointe contre la pastille. Je ...
    ... force un peu pour déflorer l’anus de mon gland. Sylvie m’aide en poussant, et après quelques secondes, il franchit le seuil du fourreau étroit.
    
    Je continue la lente pénétration jouissive, jusqu’au moment toujours incroyable où ma verge est entièrement au fond de ce trou accueillant, que mes couilles tapent contre la chatte. Je peux enfin me donner à fond d’un pistonnage toujours plus fort, toujours plus rapide. Quelques poses pour redescendre d’un cran pour durer quelques minutes de plus et recommencer à l’enculer encore plus fort.
    
    Je la sodomise aussi longtemps que possible pendant que ma main titille son clito jusqu’à la faire jouir. Elle commence à avoir sa dose et me supplie de conclure, mais je ne m’arrête pas, changeant de position pour varier les plaisirs, ma queue ne quittant pas l’écrin de son cul. Mais tout a une fin.
    
    — Je vais te graisser le fion !
    
    J’accélère encore, elle se tord de bonheur en jouissant encore, les reins cambrés. J’enfonce mes mains dans sa chair et me laisse partir, la martelant de coups de queue toujours plus forts, toujours plus profonds. Elle crie encore et encore quand un ultime orgasme la submerge, poussant de longs gémissements de plaisir alors que je commence à éjaculer au fin fond de son cul en y déversant des flots de sperme chaud. À chaque jet, les frémissements de ma grosse bite se répercutent dans ses entrailles, tant elle est à l’étroit en ce lieu.
    
    Je suis fourbu, mais fier du devoir accompli et content d’arriver encore à ...