1. Isabelle, soubrette au service de ses maîtres (4)


    Datte: 03/01/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docmature, Source: Xstory

    ... Non... pas tout de suite les yeux bandés…
    
    - Non ? Comment oses-tu refuser ? Je pensais avoir été suffisamment claire dans mes propos cet après-midi, nous ne te demandons pas ton avis. Tiens, voilà ce que tu mérites ! rétorque Madame.
    
    J’entends alors un bref sifflement avant de percevoir une violente brûlure sur ma fesse, Madame vient de me donner un coup de cravache. Je tourne ma tête pour la supplier d’arrêter quand un second coup s’abat sur mon autre fesse, puis encore deux autres. Je sens des larmes monter.
    
    - Ceci n’est qu’une mise en garde. Alors Isabelle, tu refuses toujours ?
    
    - Non, maîtresse Véronique. Faites comme bon vous semble.
    
    Me voilà les yeux recouverts d’un bandeau opaque. J’attends, légèrement anxieuse, de nouvelles directives.
    
    - Eh bien petite soumise, il est temps de donner un peu de plaisir à ton maître, commence par le sucer, m’ordonne Madame.
    
    Je dois me montrer à la hauteur des exigences de mes patrons si je ne veux pas les décevoir et être punie. J’ouvre la bouche et je viens lécher, de la pointe de ma langue, le gland offert. Je titille, je suce, j’embrasse le bout de chair qui gonfle et tressaille sous mes assauts buccaux. Je crois entendre gémir Monsieur ce qui me rassure.
    
    Je décide de passer à la vitesse supérieure. J’ouvre en grand la bouche et, de façon lente et sensuelle, j’enfonce sa queue au fond de ma gorge. Son sexe est si profondément entré que j’en ai un haut-le-cœur et que je suffoque légèrement, m’obligeant à me ...
    ... retirer en laissant s’étirer un filet de bave. Ne voulant pas subir de nouveaux coups de cravache, je reprends aussitôt la verge en bouche. J’effectue des va et vient alors que ma salive coule jusqu’aux bourses de mon patron qui pousse de longs râles de plaisir. J’éprouve une certaine fierté de m’apercevoir que ma fellation semble à la hauteur de ses envies.
    
    Je mouille en pensant que madame Véronique ne doit pas se priver de bien regarder sa petite soumise lécher, avec une telle application, le membre de son époux. J’ai une irrésistible envie de me caresser, mais je sais que je n’ai pas le droit. Je dois attendre la permission de mes maîtres avant de me prodiguer le moindre plaisir.
    
    Je continue de bien pomper monsieur Pierre quand ma bouche entre en contact avec des doigts. Je devine qu’une main de Madame s’est emparée de la queue de son homme et qu’elle le masturbe. Nous continuons ainsi à satisfaire mon maître jusqu’à ce que, soudainement, ma tête soit tirée en arrière par les cheveux.
    
    - Maintenant, suce les couilles de ton maître, m’ordonne Madame, tout en dirigeant mon visage vers celles-ci.
    
    Je sors ma langue pour exécuter cet ordre puis je gobe une à une les bourses, la bouche grande ouverte. A nouveau, une main me tire par les cheveux afin de me redresser…
    
    - Ne bouge plus, tête droite, mains derrière le dos, voilà… tu es parfaitement placée pour recevoir l’offrande de ton maître.
    
    Je comprends immédiatement ce qui va se produire. J’attends quelques ...