Mon épouse et le médecin (5)
Datte: 03/01/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: luc_marie92, Source: Xstory
... soirée".
Luc aurait tellement voulu être là. A la place de Paul. L’entendre. L’entendre, oui, surtout. Plus encore que voir, il aurait voulu écouter ce que les quatre se disaient. Dans les vidéos, ils sont souvent légers, côté dialogues, les acteurs. On ahane, on souffle... On gémit, dans le meilleur des cas. Et puis on crie pour des orgasmes sans foi ni loi. Mais là? Que peuvent-ils donc se dire?
— Vas-y suce moi bien, tu aimes ça, qu’elle te bouffe le clito. Vas y lêche bien ta petite cochonne, pendant que je te lime. Tu lèches bien, Nicole. Oui enfonce tes doigts dans moi. Putain, tu le fais bien, c’est bon... J’aime avoir mon doigt dans ton cul, sale petite trainée.
Photo 4
Le cliché les montre de dos. Les deux hommes sont debout, on voit leurs fesses qui s’agitent à l’évidence. Chacun d’eux baise chacune des deux luronnes. Est-ce qu’ils les prennent en levrette, ou y-a-t-il une sodomie en cours?.. Peut-être deux ?
Marie se souvient que " Paul avait un sexe moins long mais plus large que celui de mon autre amant Marc. J’ai aimé passer de l’un à l’autre, mais je n’ai pas joui avec Paul. J’ai prié pour qu’il n’aie pas l’idée de m’enculer, j’avais peur d’avoir un peu de mal à l’accueillir... Par chance, il a joui dans ma chatte. Mais je sais que de son côté Nicole n’avait pas refusé que le pieu de Marc vienne fouiller son anus. Je soupçonne d’ailleurs qu’elle n’avait pas attendu cette ...
... rencontre à quatre pour l’y inviter. Je crois que Nicole a joui trois ou quatre fois dans cette soirée.
Luc ne sait plus que dire, il devine juste que Marie se trouve à droite, il la reconnait à son porte jarretelles et ses bas, qui semblent se relâcher à force d’agitation. Il ne peut qu’admettre que dans le réel, son épouse aimée dont il a tant de fois regretté le manque d’audace peut se comporter comme une belle salope. Une vraie baiseuse. Une sacrée putain. Une cocufieuse. Il ne sait plus dire si cela l’excite, l’émeut, le perturbe, le fragilise dans ses certitudes anciennes. Il sait une chose seulement: quelle que soit l’émotion dominante, c’est lui qui l’a faite jaillir dans le confort de leur couple petit-bourgeois.
Marie ne dit pas qui a pris les photos. Luc ne se l’est pas demandé non plus. Ces photos n’ont été stockées que dans le disque dur imaginaire de l’homme qui voulait une femme libérée. Il sait à présent "que ce n’est pas si facile". Comme dans la chanson de ce groupe... Comment s’appelait-il déjà ?
Quand le réel et l’imaginaire entrent en collision, les repères s’estompent. Luc se souviendra souvent de ces photos, il lui arrivera encore de se branler en y repensant. Il remerciera Marc, Paul et Nicole pour leur aimable participation.
Et dans une autre histoire, surveillez, vous la verrez passer, Je vous raconterai peut-être mon expérience de lopette avec Sylvain, le mari de Nicole.