1. Rencontre avec une idylle... D'il y a 32 ans (1)


    Datte: 03/01/2022, Catégories: Hétéro Auteur: SIQUOIR, Source: Xstory

    ... mon encontre, me laissant à peine déposer mes paquets à côté des siens, puis elle mit ses bras autour de mon cou et elle m’embrassa fougueusement, et amoureusement, comme nous le faisions lors de nos retrouvailles à l’époque, son comportement envers moi n’avait pas changé, et, je venais de la retrouver, ma Olga de l’époque.
    
    Avec certes quelques années de plus, mais moi aussi, j’avais des années de plus, et je dirais même que j’avais quelques kilos de plus, mais ça ne la dérangeait nullement.
    
    Puis elle m’enleva la veste sans que je puisse réagir, ensuite ma chemise et mon tee-shirt, et puis elle me prit par la main et elle m’entraîna vers la chambre à coucher. Une fois dans celle-ci, je commençais à l’effeuiller de ses vêtements, un à un, je lui retirais ses affaires et je redécouvris ses attributs qui me fascinaient, qui me ravissaient au plus haut point.
    
    Après lui avoir enlevé sa blouse et retiré son soutien-gorge, je me retrouve avec une belle, non, une très belle poitrine avec des seins en forme de poire, bien maintenus à l’horizontale et dont j’avais bien calibré son tour de poitrine, elle portait bien du 85 b.
    
    Je ne pus me retenir et je vins lui prendre dans mes mains, ses deux seins en même temps et je me mis à les pétrir, à les malaxer, à irriter ses tétons, puis à prendre ses pointes dressées en bouche pour finalement lui téter un sein, chose qui l’avait toujours fait jouir et dont elle en était très friande ; je sentais comme sa poitrine se durcissait ...
    ... encore davantage lorsque je tétais ses miches.
    
    Revenant de temps en temps à sa bouche pour l’embrasser et pour lui rouler une pelle magistrale.
    
    Le temps où je l’embrassai, elle ouvrit ma ceinture, puis le bouton de mon pantalon et elle le laissa tomber à mes chevilles, ensuite elle en fit de même avec mon shorty.
    
    Ensuite, elle se laissa descendre sur ses genoux et elle vint prendre mon sexe en bouche pour le manger et pour goûter sa saveur, comme elle le disait toujours. Moi de mon côté, je lui caressais la tête, puis je me courbais pour arriver à prendre entre mes doigts ses tétons et pour les irriter.
    
    En même temps qu’elle me suçait, je l’entendis gémir du fait de ses tétons bien durs que je faisais rouler entre mes pouces et mes index. Olga me suça si bien que je ne pus me retenir bien longtemps, et je lui fis part que j’allais partir, mais elle ne changea rien à sa manière de faire, elle ne lâcha ma bite que pour me dire : laisse-toi aller, Stan, ça fait si longtemps que je n’ai pas eu l’occasion de re goutter à ton jus d’amour.
    
    Tu te rappelles que j’ai toujours aimé ton sperme, et elle me reprit aussitôt en bouche pour me faire pleurer du gland. Une fois que je m’étais vidé dans sa bouche, je la pris sous les bras et je la remontais pour venir l’embrasser à nouveau. Puis en même temps que je lui roulais une pelle, notre baiser avait le goût de mon sperme et elle en avait gardé un peu pour le partager avec moi.
    
    J’entrepris ensuite d’ouvrir le crochet et la ...
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