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Strip game (1)
Datte: 03/01/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Marayat, Source: Xstory
... sensations qu’il procure. Comment pourrais-je ne pas profiter un instant de la victoire quand tu te donnes à moi de la sorte, m’offrant ton sexe déployé, en confiance, les yeux fermés ? Tes bourses sont tellement gonflées de promesses que la fine peau habituellement ridée est lisse et douce, parsemée de rares longs poils. Je palpe la rigidité de ton érection qui commence bien en dessous de tes bourses et mes pouces la suivent entre tes orphelines que je sépare délicatement puis ils remontent ta broche pour venir agacer le frein sous ton gland. Tu vas défaillir quand, après les pouces, la pointe de ma langue vient agacer ce frein si sensible et je sens ton vit se contracter dans ma main qui le retient. Puis je m’amuse à tester sa rigidité comme celle d’un ressort. Je le tire en pouffant de rire pour le lâcher soudainement et le faire rebondir sur ton ventre avec un claquement sourd. Je voudrais déjà m’y empaler et y rester accrochée. Je vois des veines gorgées de sang qui battent le long de ta colonne tant tu bandes et je retire délicatement le chapeau de ton gland lisse et gonflé comme un fruit mûr. Voilà ton membre déployé et prêt pour la suite. Mes mains en coupe englobent tout ton sexe et j’hésite entre le plaisir de te faire gicler vers le ciel ou de t’absorber en moi. Déployé, il est si long que ton gland surplombe mes doigts comme un fruit cramoisi. Mon excitation monte à la vue d’une goutte transparente qui s’est échappée de ta prune mûre et ruisselle maintenant ...
... dans la rigole sous ton gland. Tu es fin prêt à m’honorer comme il se doit et je suis prête à m’offrir à ton assaut final. Avant que la goutte ne tombe dans ta toison, je gobe cette première rosée cristalline en engloutissant cette prune vermeille entre mes lèvres. J’adore sa douceur soyeuse et tout en donnant quelques coups de langue sur le frein, je reste un moment à caresser tes imposantes noix, chaudes et douces, qui laissent suinter ton plaisir naissant dans ma bouche. Puis je te fais gémir en gobant chacun de tes testicules. Je pense que tu es à ma merci... Nous sommes maintenant seulement revêtus de la lueur chaude et orangée du soleil. Debout devant moi, tu bandes comme mon puissant étalon au point que ta tige va presque se plaquer sur ton ventre, dans ces poils sombres qui descendent de ton nombril. Je te fais remarquer l’ombre indécente que tu projettes sur le mur blanc à notre côté. Je mouille ma main et je commence un lent mouvement de va-et-vient qui fait disparaître ta cerise au creux de ma main puis la fait réapparaitre tout aussi brillante. Je regarde mon ombre branler la tienne et je ne sais combien de temps je vais pouvoir attendre avant de vouloir que le beau mâle en rut projeté sur le mur s’encastre en moi. Te tirant par la queue, je te fais rassoir. J’arrête un moment de te caresser et t’embrasse en te pénétrant profondément de la langue. Nous reprenons notre souffle et en pointant ta queue luisante, je conclus: — J’ai gagné le droit d’en faire ...