1. Beau-papa et Co - Chapitre 5 : J’adore ma nouvelle vie


    Datte: 01/01/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Charime, Source: Hds

    ... Kaori. Décidément elle me plait cette jeune femme. Elle ne doit pas avoir guère plus que moi, presque vingt ans. Le fouet tombe sur moi, dix coups que je reçois. Cette fois, je hurle. Comme si cela ne suffisait pas, Mariko couvre mon corps de pinces mordantes, méchantes, douloureuses. Une cravache m’arrache une pince, un autre coup frappe mon sein gauche, expulsant deux pinces. J’ai mal, je ne peux dire le contraire. Mais dès qu’une main attentionnée me caresse, je clame que c’est bon. Je supplie même d’être baisée, enculée ou tout ce qu’ils voudront bien me faire tant qu’on me baise. C’est une fine main qui s’incère dans mon cul, celle de Kaori à n’en pas douter. La encore, je peux entendre ces acclamations. Des mains se joignent à celle de Mariko, mais celles-ci me caressent sans me causer la moindre douleur. Christian se glisse près de moi, je reconnais son parfum.
    
    - Joue l’hypnotisée, ma chérie, je voudrais faire encore quelque chose.
    
    - Tout ce que tu veux, vicieux personnage, tout, tu m’entends !
    
    - Oui, que trop, ma douce belle-fille.
    
    - Plus de belle-fille, mon enfoiré, votre salope, Maître.
    
    - Miam, ça, tu vois, j’adore.
    
    - Moi aussi, qu’est-ce que tu crois. Continue, vous me faite un bien fou.
    
    - Alors, tu aimes réellement
    
    - Oh oui que j’aime. Je vis un vieux fantasme. Mais je te dirais tout après.
    
    - Mesdames, messieurs, je voudrais six hommes, six femmes. Vous, Monsieur, vous, belle dominatrice, cette jeune femme, oui, vous et vous et encore ...
    ... vous.
    
    Bref, il choisit ces douze exécuteurs. Je sais déjà qu’ils vont nous baiser, moi et Kaori et que je vais devoir lécher et sucer. Mariko détache certaines cordes. Elle en fixe d’autres à mon corps. Je me sens soulevée. Je sens ma tête plonger vers le sol et je me sens délicieusement écartelée. Je sens mon corps s’étirer comme si ma douce japonaise voulait me démembrer. Si je ne vois plus Kaori, je l’entends geindre de bonheur et de douleur, le tout en même temps. Dans mon sexe, une main autre que celle de Mariko force ma chatte. Une petite queue se pose sur ma bouche. Merde, elle est ridicule petite, presque microscopique. Une autre, plus grosse, se joint à la première et je pompe ces deux bites. Sur mes seins, deux mains me les broient. Mes tétons sont presque arrachés, tordus. Cette fois, je ne sens plus ce plaisir qui m’habitait peu avant. Je le crie à Christian. Les choses changent, on se fait plus doux même si je souffre un peu encore. Mais ça, je préfère, j’aime même. Un fouet vient massacrer mes seins. Je hurle et puis plus rien. Je sens juste mon corps se coucher sur la table, une bouche se déposer délicatement sur ma bouche. Une voix me dire que j’ai été merveilleuse. Et moi, ça, je m’en souviens, dire que je me réjouissais de recommencer, mais au Japon. Mariko m’embrasse, sa main étalant de la crème sur mes seins, ma vulve.
    
    - Repose-toi, mon amour. Tu as été fantastique.
    
    - Et toi, diabolique, comme les deux autres, ses enculeurs. Je t’aime, ma douce. ...
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