Le nouveau coq de la basse-cour. (2)
Datte: 31/12/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
Le dépucelage de mon grand-père pendant la guerre 39/45.
Au décès de mon grand-père, j’ai retrouvé des carnets remplis d’une écriture serrée. Ils racontaient sa vie d’ado pendant la seconde guerre mondiale. Ce que je vais vous raconter est tiré de ce qu’il a vécu avec un rajout hot pour égayer l’histoire avec un grand H.
-Ninon avait raison, le maïs a bien poussé et l’épi est dur et ferme. Le coquelet est devenu le roi de la basse-cour. Aaahhh ! Ooouuuiii !
Elle aussi ne partit pas avant d’avoir reçu son obole. Je retombai aussitôt dans les bras de Morphée après une nouvelle toilette du pinceau toujours dressé, mais par pour longtemps. Cette fois, ce fut le tour de Louisa. Elle avait de magnifiques seins et une toute petite chatte. Mon engin était comme pris dans un étau dans son vagin et elle se poignardait avec prudence sur ma pine.
-Aaahhh Bernard ! Mon Dieu que t’es gros, pourtant tu n’as que la peau sur les os. Je ne croyais pas que tu aurais tenu le coup jusqu’à moi mais tu as l’air d’être un bon coup !
Une fois son affaire faite, et un dernier nettoyage, je pus enfin dormir, la queue toujours raide. Mais que m’avaient-elles fait boire ? Ce n’est que le lendemain que je réalisais au petit-déjeuner que trois des femelles sur quatre autour de la table avaient trouvé l’orgasme en faisant du rodéo sur ma pine…
Et portant, elles faisaient comme si je n’existais pas, les salopes !
Suite :
Le lendemain matin au petit déjeuner une fois qu’Aline se fut ...
... absentée, leur comportement changea et elles furent toutes au petit soin pour moi, commentant cette nuit de débauche comme si je n’existais pas.
-Notre coq à la queue plus verte que Juan, lui n’a jamais tenu les trois rounds, expliquait Lina.
-Et il était encore « en forme » quand je l’ai quitté. Confirmait Luisa. Et quel gourdin !
-Eh ! Je veux bien le partager avec vous ! S’exclama Ninon. Mais vous allez le dépraver et le rendre malade si vous lui donnez trop souvent votre potion. En une nuit, il a vécu ce que peu d’hommes ne connaîtront jamais !
-Eh ! Je suis là ! Je m’emportais. J’ai peut-être mon mot à dire !
Chaque jour jusqu’au retour de mes parents, que ce soit la nuit ou dans les « conches », Il fallait que je contente l’une ou l’autre. Heureusement que j’étais jeune et en pleine possession de mes moyens au niveau sexuel car il fallait que je donne de ma personne.
Le feu d’artifice eut lieu la veille du retour de mes parents où, m’ayant fait à nouveau boire de la « potion magique », ces trois bacchantes se déchainèrent ensemble sur le « pôvre gosse » que j’étais. Mais j’étais fier comme un coq avec toutes ces « poules ».
Le drame, même plusieurs, eurent lieu l’année suivante. Lors du bombardement de la base sous-marine par les alliés, des bombes détruisirent des maisons dont celle de mon copain Pierre, il y perdit la vie ainsi que sa mère. Je perdis alors mon insouciance et se fut encore pire quand mon père se fit arrêter par la Gestapo. Je ne le ...