Ma toute première sodomie (1) - Histoires de Sexe

Ma toute première sodomie (1)

... mon anus. D’abord avec sa langue puis avec un doigt... puis avec deux doigts... au point que je me cambre et râle de plaisir, délaissant son chibre bandé et prêt à exploser.

Il me demande alors de me retourner et enfile une capote tout en induisant ma rosette encore vierge de gel.

Je sens alors la pointe de son gland contre mon entrée et l’entends me susurrer « pénètre-toi » !

Doucement, je viens m’empaler sur cet immense bout de chaire. Quelques centimètres et je remonte, puis redescends et remonte, essayant chaque fois de descendre un peu plus et permettre ainsi à André de s’enfoncer encore plus profondément en moi.

Après plusieurs va-et-vient, je parviens enfin à m’asseoir sur lui et sentir ses poils contre mes fesses. J’ai du mal à respirer tellement je me sens rempli. Je ferme les yeux et déguste cette sensation nouvelle, quand tout à coup, je sens qu’ André relève ses genoux, passe ses bras derrière ma tête pour la descendre vers son visage et nous tourne sur 180 degrés. Il me sourit et juste en le regardant, je me rends soudainement compte de la situation et position actuelle : je suis les jambes en l’air, allongé sur le dos, le cul totalement comblé par le pénis monstrueux d’un homme mûr qui me tient dans ses bras. S’enfonçant jusqu’à la garde, André s’arrête et me dit « habitue-toi ! ...

... ».

Puis il rajoute « ça te plaît d’avoir une grosse queue dans la chatte »?

Et alors que je vais pour lui répondre par l’affirmative, je sens son pieu énorme sortir entièrement de moi et se renfoncer d’un coup sec. Je crie, mais immédiatement, André enfonce sa langue dans ma bouche et commence de lents va-et-vient entre mes reins.

Je ne sais plus où j’en suis. Douleurs et plaisir se mélangent. Je gémis et le prie d’arrêter. Ce qu’il fait immédiatement. Sortant son énorme chibre de mon intimité, il me tourne sur le ventre et s’allonge sur moi, s’enfonçant et me comblant entièrement ! Il me baisse, m’encule, me fourre de toute sa longueur pendant d’innombrables minutes. Je hurle de douleur et parviens à lui demander d’arrêter.

Il sort alors de moi, ôte le préservatif et tout en se masturbant, il approche sa grosse bite de mes lèvres. « Ouvre », me dit-il juste avant d’expulser plusieurs jets de foutre épais dans ma bouche et de s’y enfoncer. J’ai à peine le temps de déglutir que je me retrouve comme au début à sucer et lécher sa grosse verge.

S’approchant de moi, il enfonce soudainement trois doigts dans mon orifice béant, m’embrassa et me dit : « je vais faire de toi ma petite pute ».

Il s’est rhabillé et est parti.

Si nos dialogues et rencontres d’après vous intéressent, dites-le-moi ;-)