1. Soumise aux ordres de mon Maître. La maison close.


    Datte: 09/08/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    Soumise aux ordres de mon Maître.
    
    La maison close.
    
    (Cette histoire est écrite avec la complicité d’une de mes lectrices. Mais je ne vous dirai pas si tout ou partie est fantasme ou réalité. L’auteur)
    
    J'écarte encore plus, et aide la base de ma robe à remonter jusque ma taille. Je ne le quitte pas des yeux, mes mains se posent sur mes genoux et remontent en appuyant sur l'intérieur de mes cuisse et en amplifiant l'ouverture, je gémis. Mes seins pointent à travers le tissu de ma robe, mes tétons s'irritent tout seul.
    
    Mes doigts caressent ma peau, arrivent enfin sur mon humidité. Du bout des index je redessine mes lèvres vaginales, mes pouces appuient sur le haut, au dessus de la cachette clitoridienne. J'appuie, presse, referme mes lèvres très fort, tous mes doigts accompagnent le mouvement. Je suis mouillée, tellement mouillée, toujours maintenant.
    
    Je rattrape des années de sécheresse depuis quelques jours. Un petit rire m'échappe, je me rappelle une phrase de mon ex-mari "comme tu ne mouilles pas, il faut du lubrifiant".
    
    Je savais déjà à l'époque que je savais "mouiller", ça fonctionnait toute seule. Et maintenant, Patrick m'a transformé en fontaine, je suis auto-lubrifiée, toujours prête!!
    
    Je ne le quitte pas du regard, frissons, il regarde ma chatte. Il ne l'avait jamais vu, c'est bien la seule partie de mon corps dont il n'a pas reçu la photo.
    
    De mes doigts, j'ouvre mes lèvres, hum, ma cyprine s'écoule le long de ma fente et part vers mon anneau. ...
    ... Je rentre le majeur de la main gauche, celui de la main droite va chercher ma perle cachée. Je me cambre brutalement, mes yeux se ferment, ma tête bascule en arrière, mes seins sont propulsés vers lui, et, si possible, j'écarte encore plus mes jambes, mes talons aiguilles s'enfoncent dans la moquette, mes orteils cherchent à s'ancrer dans le sol.
    
    -Oh Maître ! Un mouvement de mes doigts sous Votre regard et je suis quasiment en transe. J'ai l'impression que je pourrai à nouveau jouir en quelques secondes, juste parce qu'il le veut.
    
    Je ramène ma tête, rouvre les yeux et je le cherche. J'essaie de faire abstraction des taupes qui poursuivent leurs cajoleries sur Le pieu de Mon maître. Je ne veux pas voir les coups de langues, les doigts qui jouent avec Ses bourses... Jalouse, Sophie, tu es Jalouse ! Il est à moi et je suis très exclusive.
    
    Son regard, vite, faites qu'il me regarde. Je veux trouver ses yeux mais il a détourné la tête. Je sens un froid remplacer ma chaleur, mes jambes commencent à se refermer, mon corps veut se recroqueviller.
    
    Et, comme au ralenti, sa tête revient, ses yeux croisent les miens. Magie, mon corps brûle, mes hanches basculent, mes doigts s'agitent. Je plonge mes doigts en moi comme mes yeux plongent en lui. Je vais venir, je vais lui offrir mon orgasme. Non ! Ce n'est pas le mien, ce ne sont plus les miens. Tous mes orgasmes lui appartiennent, il est le seul à pouvoir les provoquer, il me fait ce cadeau, c'est mon offrande.
    
    Accélération, ...
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