1. Mariage Kabyle (6)


    Datte: 27/12/2021, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    La « Grotte » du Plaisir
    
    J’ai sans doute sucé des centaines de bites dans ma vie, mais si la testostérone et les phéromones étaient toujours présentes, beaucoup dévoilaient un goût différent, propre à chaque individu sans doute, les blonds ne dégageaient les mêmes saveurs que les bruns, ou les arabes que les blacks. Les odeurs corporelles diffèrent selon chaque être humain, question de gênes, de mélanome ou de nourriture d’après ce que l’on m’avait dit quelquefois.
    
    En tous les cas, je me délectais de Kamel, en tant que véritable femelle, ses fortes odeurs masculines me comblaient. Une petite précision toutefois, je ne suis absolument pas, ni uro, ni scato, ni adepte de quiconque, pas lavé depuis plusieurs jours. Mais j’aime cette saveur du sexe qui a mariné depuis la douche du matin, comprimé pendant une journée dans son slip ou son boxer, imprégnant le tissu et ses poils de toute sa virilité. Mâle, oui, pisse... Ça me fait gerber.
    
    Il prenait un plaisir extrême avec ma bouche qui absorbait son mat. Je le sentais tiraillé entre son instinct de dominant qui voulait s’enfoncer encore plus fort, plus profond, et un certain respect qui freinait sa puissance. Pour vaincre sa réserve, j’appuyais sur ses fesses bien fermes et revêtues d’un duvet si doux, qu’il s’est lâché complètement.
    
    Hmmmmmm... Je tétais encore du zob... Quel bonheur... Cette magnifique queue dans ma bouche avait fait fi des scrupules que je pouvais encore avoir vis-à-vis d’Omar, et comme il me ...
    ... l’avait dit à juste titre, je devais en profiter, j’aimais trop la bite.
    
    Comme tout jeune en manque, il n’a pas tardé à se libérer, à répandre son délicieux nectar au fond de ma gorge, ses couilles montaient et descendaient au fur et à mesure de la puissance de ses jets dont je me délectais jusqu’à la dernière goutte, n’en laissant rien échapper, bien trop précieux pour ça.
    
    Un petit instant pour reprendre nos esprits quand même, puis presque sauvagement, il a enlevé le faible rempart de tissu qui me recouvrait pour mettre à nu l’objet de toute sa convoitise.
    
    — J’ai trop envie de te prendre Marc, te défoncer, me vider en toi encore et encore, ça m’est pas arrivé depuis tellement si longtemps... !!!
    
    — Mais pourquoi Kamel ? Tu es super beau mec... Tu peux avoir qui tu veux... !!!
    
    — Pas autant que tu penses... Je préfère niquer des mecs, mais la plupart refusent et fuient devant la taille de mon engin... Comme Omar... !!!
    
    Avec un clin d’œil.
    
    — Quels cons... !!! C’est si bon quand c’est super gros... !!!
    
    — Je sais, mais Omar a dû te le dire aussi, les passifs ici ont souvent peur des très grosses bites, sauf les « fofolles, qui se font sauter par n’importe qui, et ce n’est pas vraiment mon truc. » Les mêmes mots que ceux d’Omar.
    
    En l’écoutant, je caressais ce morceau de chair, à la peau plus douce que de la soie ou du velours, cette toison si dense et embaumant qui l’entourait, les légères griffures de mes ongles un peu longs, n’ont pas tardé à lui redonner ...
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