Emilie, de jeune fille modèle à chienne exemplaire (3)
Datte: 27/12/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
... qu’il envahisse tout le champ de sa caméra. S’approchant du trou plutôt que de zoomer, il lui sembla percevoir la chaleur que les fesses irradiaient. La caverne, a priori noire, recelait en s’en approchant, en éclairant ses profondeurs au flash des variations humides de pourpre, de carmin et de corail.
André poussa le garçon et reprit la place qui lui revenait, celle du propriétaire. Il déboucha un gros feutre indélébile et inscrivit le chiffre « 1 » sur une fesse d’Émilie, non loin de l’anus. Puis sans attendre, il commença à glisser son gros gland de haut en bas le long de la fente, l’enduisant de la mouille qu’Émilie produisait en abondance.
Lentement, il poussa sa queue dans la chatte vierge de la jeune fille. Il savoura la résistance des chairs contre son gland puis leur rapide capitulation et l’invasion complète du membre, jusqu’à la garde. Émilie éprouva une sorte de chaleur intense, mais pas vraiment de douleur. André, lui, ne quittait plus l’extase à laquelle il s’était hissé depuis sa première invasion et, savourant les sensations indubitablement différentes, ne pouvait guère monter plus haut en termes de plaisir et de félicité à moins de se laisser aller à l’orgasme, ce qui était largement prématuré.
L’impression cependant était différente dans la chatte et André s’y sentait mieux accueilli encore, sa queue étant presque aspirée par le vagin de la jeune fille à chaque fois qu’il s’y enfonçait et surtout, l’étreinte était moins uniforme que dans le cul, ...
... les stimuli sur sa bite plus sophistiqués.
La fessée interrompue, il attrapa l’abondante chevelure d’Émilie, la tordit en une grosse natte et s’en servit pour tirer sa tête en arrière, jusqu’à lui, et saisir à pleine main un de ces éblouissants nichons qu’il ne connaissait jusqu’alors qu’en photo.
Il entreprit alors une chevauchée impitoyable, jetant toutes ses forces dans la course. Les insultes s’effacèrent sous une espèce de meuglement complétant l’impression bestiale donnée par le jardinier qui ressemblait à un Minotaure baisant avec une humaine, un peu comme dans ces gravures de Picasso jouant sur le contraste entre les deux personnages.
Le corps fin et rebondi d’Émilie, luisant de sueur, tordu, malaxé, touchait au comble de la grâce en même temps que celui, trapu et poilu d’André semblait plus jamais appartenir à un animal.
Le jardinier tira un peu plus sur les cheveux pour approcher le visage coloré de la jeune fille près du sien, accentuant encore la courbure du dos, l’amenant aux limites du possible afin de prendre ses lèvres, de mêler sa bouche à celle d’Émilie. Les cris de l’une et les rugissements de l’autre continuèrent pendant ce baiser, mais sortaient étouffés de leurs gorges.
Après un long moment, le jardinier repoussa la jeune fille face contre le siège du canapé, et se retira pour observer à nouveau les effets de son étreinte. Elle n’avait pas saigné, mais le voile aperçu plus tôt dans la soirée était levé ou plutôt écarté de part et d’autre du ...