1. Road-trip (5)


    Datte: 26/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Condor76, Source: Xstory

    ... sexe. Je sens son nez contre mon ventre tellement elle m’avale. Béa étant désormais à portée de main, j’entreprends de faufiler mes doigts dans sa chatte velue, trempée et odorante. Je n’ai aucune difficulté à lui insérer deux doigts, vu sa large chatte. Je tourne, je rentre et je sors comme dans un moulin. Ses petits cris étouffés par cette bite inconnue n’y changeront rien: elle a envie de se faire baiser très fort ce soir.
    
    Mon épouse est à quatre pattes sur son siège et gémit d’avoir mon sexe en bouche en regardant Béa. Sa langue me lèche, ses lèvres me sucent, sa bouche m’aspire. Elle est encore plus excitée que moi de ce spectacle.
    
    Ayant les commandes de sa vitre sur ma portière, je la descends complètement. Dans cette position, son derrière est donné en pâture aux deux autres rugbymen. Leurs mains lui caressent les fesses sans ménagement ou distribuent quelques claques sonores, lui laissant des marques d’un feu cuisant. Des doigts écartent ses poils pour se fourrer aussi bien dans sa chatte que dans son cul. Surprise dans un premier temps, je lui maintiens la tête, bouche collée contre mon sexe. Acceptant très vite la situation, elle se trémousse contre ces doigts vicieux pendant que je bâillonne ses petits cris plaintifs.
    
    Béa se redresse, escalade la banquette, pour venir se contorsionner et s’assoir sur le rebord de la fenêtre. Ses fesses épaisses ainsi exposées vers l’extérieur sont une pure invitation à la fornication. C’est ce qui suit immédiatement: ...
    ... quand j’entends son juron d’une voix poussive, je comprends que le type a forcé l’entrée de sa porte de service. Puis, ses seins ballotant m’indiquent qu’il la baise sans complaisance. Elle pousse d’ailleurs de courts cris en se tenant comme elle peut aux appuie-têtes. Je contemple son visage enivré par ce rut brutal et primitif. Ses cris sont rauques, bestiaux voire plaintifs mais elle réprimande son partenaire dès que le rythme ralentit. De l’extérieur on distingue uniquement son cul large et ferme se faire culbuter avec fougue par un colosse: les ondes de choc ondulant sur ses fesses potelées. Deux autres types ont le bras passé par la portière passager. Le pare-brise perle de condensation malgré les fenêtres ouvertes d’où s’échappent des plaintes d’agonie. La voiture tangue de multiples soubresauts, un vrai drive-in du sexe.
    
    Ma femme aspire toujours mon gland turgescent quand je distingue de côté les mains qui l’explorent. Deux doigts dans sa chatte et un troisième dans son cul font un splendide bruit à chaque va-et-vient. Dès qu’elle fait mine de gémir, je lui étouffe ses cris avec ma bite. Le spectacle dans cet habitacle est digne d’une orgie romaine. Béa vient de se faire sodomiser avec de si violents coups de reins que j’imagine le type s’être vidé en elle. Un autre joueur vient le remplacer immédiatement. À son expression ravie sur son visage, je comprends qu’il l’a prise par la grande porte. Ses seins rebondissants de plus belle prouvent que la chevauchée reste ...
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