1. Road-trip (5)


    Datte: 26/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Condor76, Source: Xstory

    ... tétons à travers son chemisier avec un bras replié contre sa poitrine. Aussitôt, le tissu en soie se tend sur ses énormes seins gonflés. Pendant que ma femme lui raconte, à voix basse, comment elle s’est faite prendre par les trois pompiers, je sens son pied flirter avec le mien, m’indiquant de ne pas m’arrêter de pianoter sur le portable. Ma femme enfouit sa tête dans mon cou à plusieurs reprises pour me susurrer des obscénités comme si j’étais responsable de son malheur. Je sens sa main massant ma cuisse et le pied de Béa se frottant au mien.
    
    Quand elle explique comment je suis arrivé prêter main forte au dernier pompier en l’enculant en doublette, les clients alentours jettent de rapides coups d’oeil à notre tablée qui s’agite. Béa a bien du mal à contenir des petits cris dans son bras pendant que ma femme a remis son chapeau bien vissé sur sa tête, cachant son regard et geignant dans son poing. Se tenant toujours par la main, je devine leur silencieuse agonie car leurs jambes ne tiennent pas en place sous la table. Je les sens se frotter entre elles, imaginant le nylon de leurs bas s’effleurer, leurs mollets se toucher, se caresser. Elles ne cessent de croiser et décroiser leurs genoux espérant supporter silencieusement cette torture. Je bande moi-même comme un taureau, la main de mon épouse me caressant à travers mon pantalon. Béa a fourré ses doigts entre les boutons de son chemisier et se caresse discrètement un téton. "Pitié finissons-en...", suggère-t’elle ...
    ... suppliante. "Mon cul est en feu, chéri, je n’en peux plus", murmure ma femme à mon oreille. Bon seigneur, j’actionne le programme indiqué "Intense" qui prend le contrôle automatique à pleine puissance.
    
    En voyant leurs doigts s’entremêler, se chevaucher puis se crisper violemment ensemble, je comprends que l’orgasme va être simultané. En effet, quelques secondes suffisent pour que l’une et l’autre ne parviennent plus à retenir de petits jurons et des plaintes étouffées. Quelques regards curieux se sont levés, puis très vite sont redescendus vers les assiettes, sans se douter de quoi que ce soit.
    
    Leurs visages crispés se détendent peu à peu.
    
    "Je suis trempée!" glousse Béa toujours rouge d’excitation, un grand sourire aux lèvres. Mon épouse, encore un peu hagarde, l’accompagne vers la sortie, bras-dessus, bras-dessous. Je les entends ensuite s’esclaffer dans la rue pendant que je règle l’addition. Pas dupe, le patron me souhaite une très bonne soirée avec un sourire entendu.
    
    Je rattrape les filles dehors, une douce nuit d’été couvrant leur émoi. Guillerettes et coquines, elles m’empoignent chacune par un bras. Tandis que nous avançons, Béa propose de nous emmener dans un endroit intéressant qu’elle connaît. Son sourire espiègle ne laisse présager rien de très catholique mais ma femme est si emballée que je ne peux pas refuser. Nous reprenons donc la route avec notre voiture. À l’arrière, Béa se dévoile à nous. Divorcée depuis 3 ans, elle s’ennuyait d’une vie conjugale ...
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