1. Les malheurs de Sophie - Chapitre 10


    Datte: 26/12/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byalexandredelafressange, Source: Literotica

    ... quelque temps. Alors, en accord avec Albert et maintenant, avec Nicolas, on a décidé de te préparer pour ce dimanche une chouette fête d'adieu, même si notre séparation est temporaire.
    
    Donc, chez moi, à 19h!
    
    Rentrée à son domicile, elle éprouve des sentiments mitigés : à la fois heureuse d'échapper, même durant un laps de temps limité, à Marcel, elle est inquiète quant à la « fête » qui s'annonce. Cela n'augure rien de réjouissant, pense-t-elle.
    
    Elle a raison : la soirée du dimanche est extraordinairement pénible. Après s'être déshabillée immédiatement, l'assistante est victime de punitions répétées de la part des trois sexagénaires : fouettée, à coups de badine, sur ses fesses, ses seins, sa chatte et ses cuisses, elle est ensuite liée aux quatre pieds de la table de la salle à manger et immobilisée par des lanières en cuir cerclant ses poignets et ses chevilles.
    
    Après avoir été successivement sodomisée par ses tourmenteurs, elle est ensuite détachée, remise debout, avant d'être ligotée par de solides cordes tant au niveau de ses mains (qui sont attachées ensemble derrière son dos) que de ses pieds (enchaînés). Ficelée tel un saucisson, toujours nue comme un ver, elle voit son corps emporté, de manière horizontale, par ses tortionnaires, vers le garage.
    
    Déposée sur le sol, à même le béton, elle voit passer entre ses chevilles un câble en acier, accroché à un anneau solidement vissé dans le plafond de la remise et situé à ...
    ... environ trois mètres de hauteur. Marcel s'esclaffe : - Idéal pour suspendre une cochonne!
    
    A peine ces propos terminés, le vieil homme tire manuellement sur le filin afin de suspendre la jeune femme, tel un animal mené à l'abattoir avant d'être égorgé ou dépecé. Désormais pendue par les pieds et la tête à l'envers, dans une position inconfortable, elle entend les indications du chef de production : - Comme tu le sais certainement, même si tu n'as pas de cerveau, le sang descend vite à la tête. Tu vas devoir te dépêcher pour nous sucer tous les trois, car si tu tardes, tu risques de t'évanouir.
    
    Devant ce constat froid n'affichant aucune trace de compassion ni de pitié, Sophie a compris : il n'y a rien à attendre. Elle est désormais un simple sac de viande, avec trois orifices. Salope comme elle ne l'a jamais été, oubliant toute pudeur et retenue, elle s'escrime vulgairement sur chaque queue, afin de les faire dégorger au plus vite.
    
    Pari réussi : en moins de vingt minutes, elle fait cracher les trois zobs, tantôt dans sa bouche, tantôt sur visage, tantôt sur ses seins. Quel que soit l'endroit, quelle importance, pense-t-elle.
    
    Enfin décrochée, le regard plus proche de celui d'une morte que d'une vivante, elle rentre chez elle et reste enfermée dans sa maison jusqu'au mardi matin. Elle programme péniblement son réveil, pour se lever et arriver à temps au travail pour 8h30.
    
    Au programme : tailler une pipe à son implacable patron. 
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