Trois Hommes et Un Coup Fin 07
Datte: 26/12/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: byfrederic_le_dard, Source: Literotica
... autre homme s'est avancé pour le remplacer. Il avait déjà son sexe en main et s'entretenait la bandaison.
Il a parlé à Sylvie :
- Descends du capot, tourne toi et appuie toi dessus. Je vais te baiser par derrière.
Elle a fait ce qu'il lui demandait. Il l'a aidée un peu à se placer comme il le souhaitait, la penchant et lui écartant les chevilles. Elle avait les genoux qui reposaient sur le bord du pare-choc, les jambes fléchies et bien écartées. Elle se tenait avec les bras tendus, les mains posées à plat sur le capot. Ses seins pendaient. Elle gardait la tête haute, à la manière des aveugles. Elle offrait sa croupe et attendait la saillie.
L'homme lui a pris les fesses et s'est enfoncé d'un coup. Il n'avait même pas baissé son pantalon. Il la baisait debout avec juste la braguette ouverte. Sylvie subissait les charges. Elles étaient brutales. Ça se sentait en observant les bras qui amortissaient les chocs en ployant légèrement. Le mouvement de bassin était d'une toute autre amplitude que lors du coït précédent. Il devait tout ressortir et tout lui remettre à chaque fois.
Il a fait une pause. Il restait au fond d'elle mais il lui a pris les mamelles et les a triturées à pleines mains. Il avait le buste allongé sur son dos et il lui embrassait les épaules. En pétrissant sa poitrine, il a recommencé à bouger en elle. C'étaient des petits coups, tout au fond. Elle devait juste sentir le nœud grossir en elle et percuter l'utérus.
Il a accéléré et s'est mis à ...
... pousser des soupirs de plus en plus appuyés. Son mouvement s'est accentué. Il a lâché les seins et a repris les fesses pour pouvoir lui bourrer le cul plus franchement. Il poussait des cris de bûcheron. Sylvie cambrait les reins pour trouver la position parfaite et lui permettre de mieux glisser en elle. Elle penchait la tête vers le bas. Son ventre se creusait quand l'homme reculait et se gonflait quand il avançait. On entendait la chair claquer contre la chair, la bite s'enfoncer comme dans un marais et les rugissements de l'homme qui précédaient les feulements de la femme.
Elle gardait la bouche ouverte, ronde, expirant en criant quand l'homme la pénétrait, inspirant quand il ressortait. Il a eu une dernière convulsion. Il se vidait en elle.
- Mets moi tout. Remplis moi.
J'étais estomaqué. C'était Sylvie qui disait ça, tout haut, assez fort pour que tout le monde entende. Ma Sylvie, qui était si timide et si prude il n'y a pas si longtemps, et qui était désormais capable de demander à un inconnu de lui en mettre plein la chatte.
Je me suis rendu compte que Jacques était à côté de moi, avec le mari qui assistait à la scène. Il lui a dit :
- Va te mettre à la queue si tu veux la baiser.
Et à moi :
- Ça a l'air de bien se passer, non? Elle aime vraiment ça on dirait.
- Oui, elle fait pas semblant. Je pense qu'avec elle, on a décroché la timbale. Vous venez d'arriver?
- Non, on est là depuis le début mais t'as pas fait attention à nous. Faut dire que le ...