Plaisir chez le médecin
Datte: 26/12/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... folie sensuelle, et après un rapide coup d’œil du côté de l’entrée, elle plongea la main dans mon décolleté et sortis tour à tour ses deux gros seins. Gonflés par l’excitation, les tétons pointaient fièrement.
Je la sentais complètement lubrique cette femme, pas mécontente d’exposer à la vue d’un beau gosse comme moi, ses jambes écartées sur une vulve gonflée et seins à l’air. J’aurai parié mon salaire que j’aurai pu la baiser là, sur place tant elle était excitée !
Mes yeux passaient tour à tour sur sa chatte et ses seins et, après moi aussi m’être assuré d’aucun mouvement suspect, je déboutonnais ma braguette et en sortis, pas sans mal ma verge bandée. Chacun, les yeux rivés sur le sexe de l’autre, nous avions commencé à nous masturber. Elle, l’index tournicotant sur son bouton, écartant ses lèvres, branlant sa chatte. Voir cette main inconnue s’agiter sur cette moule gonflée d’excitation à quelques centimètres de mes yeux et de ma queue m’avait carrément mise en transes !
Je sentais bien qu’elle aussi était au bord de la jouissance, à sa respiration qui devenait de plus en plus saccadée. N’y tenant plus, j’activais la cadence de mes coups de poignée elle avança les fesses au bord de son siège, écartée comme une chienne, se masturba elle aussi plus vite.
C’était une ...
... situation incroyable et terriblement excitante, et j’avais terriblement envie d’aller poser ma bouche sur sa foufoune. Alors j’avais pris place sur la chaise à côté d’elle. Elle ne tarda pas à caresser mes couilles. Je ne pus résisté de pousser un petit cri étouffé ponctué de :
-Oui… oui… vas-y, caresse-moi…
De son côté, elle me prit ma main pour la poser sur sa poitrine. J’empoignai un sein, le triturais, je soupesais, tirant sur le téton. Je pris l’initiative de poser mon autre main sur sa chatte. Massant son bouton avec le gras du pouce alors que je fis disparaître deux doigts dans sa chatte la fouillant. Et très vite elle arriva au bord de l’orgasme. Cela ne l’empêcha pas de continuer à me branler, et de façon correct, à me faire délirer au point de lâcher des :
-je vais gicler… je vais gicler.
Et comme prévisible, je jouissais à mon tour en même temps qu’elle, comme je crois n’avoir jamais joui. J’avais le cœur qui cognait, les tempes en feu et des étoiles devant les yeux.
Je mis plusieurs minutes à reprendre mes esprits. Après ce moment d’élucubration, elle replongea les yeux sur l’écran de son portable. Nous n’échangeâmes pas un mot jusqu’à l’apparition du médecin qui m’invita à le suivre. Alors que j’allai franchir la sortie, la femme me lança :
-C’était génial !