1. Amandine amoureuse (1)


    Datte: 25/12/2021, Catégories: Lesbienne Auteur: zooph34, Source: Xstory

    ... autre chose, elle me le fera savoir, j’en suis sûre. Je retourne dans la salle de bain, y pénètre juste au moment où elle entre dans la douche à l’italienne, elle est de dos, nue. Je suis subjuguée par ce cul d’enfer encore bien bronzé avec des traces de ficelles de string, j’ai envie de me jeter dessus et de lui bouffer, mais je me retiens, on verra ça plus tard. Je pose la gandoura sur une chaise et sors. J’entends couler l’eau, je m’imagine cette splendide fille passer ses mains sur tout son corps pour se laver, j’aimerais tant que ce soit les miennes qui parcourent ses merveilleuses courbes. Je mets la pizza dans mon four pour la maintenir en température et prépare un apéritif en l’attendant.
    
    Elle arrive au bout de dix minutes. Son corps bouge sous la gandoura qui ne cache rien. Je la regarde mieux, elle est en fait très jolie avec des yeux de biche aux longs cils.
    
    — Tu m’as donné cette gandoura qui ne cache pas grand-chose pour me mater, c’est ça ?
    
    — Je l’avoue, c’est exactement pour ça, et je dois dire que j’adore ce que je vois.
    
    — Sans me demander mon avis.
    
    — J’en avais vraiment besoin ?
    
    — Pas vraiment non.
    
    — Ça te gêne, tu veux que je te donne autre chose ?
    
    — Ce n’est pas la peine, on sait très bien toutes les deux comment ça va se terminer, alors autant jouer franc jeu et dévoiler ses atouts.
    
    Elle fait passer le vêtement par-dessus sa tête, le jette à terre et me regarde. Je me lève et en fais autant, nous sommes maintenant nues face à ...
    ... face. Elle a de sacrés atouts, seins hauts et fermes, bien ronds, pas trop gros, ventre plat, pubis rebondi juste agrémenté d’un minuscule ticket de métro, ce que je n’aime que modérément, jambe et cul d’enfer. Elle est assez bronzée, mais a des marques de bronzages minuscules sur les seins et le pubis, juste le ticket de métro. Le maillot ne devait pas excéder trois grammes, un par triangle. Je distingue son clitoris qui pointe le bout de son nez sous son capuchon, il n’a pas l’air énorme. Mes atouts sont à peu près les mêmes, à l’exception de mon pubis lisse et bien bronzé. Je pense que nous avons le même âge à peut-être un an près. Elle vient vers moi, s’arrête à dix centimètres, nos seins se touchent presque.
    
    — Tu as envie de moi ?
    
    — Oui.
    
    — Avant ou après la pizza ?
    
    — En tout cas, après l’apéritif, assois-toi sur ce divan.
    
    Elle s’assoit, je m’assois en face d’elle, de l’autre côté de la table. Elle me refait son sourire en coin et écarte les cuisses, j’écarte mes cuisses.
    
    — Je vois qu’on n’a pas besoin de te demander, tu sais ce qu’il faut faire.
    
    — Surtout quand je suis devant une fille qui me fait mouiller.
    
    — Les filles te font mouiller ?
    
    — Certaines, pas toutes, toi oui, et même grave.
    
    — Et les mecs.
    
    — Non, pas les mecs, je n’aime que les femmes.
    
    — J’ai de la chance.
    
    — On peut le dire.
    
    — Tu es vierge ?
    
    — Non, mais c’est tout comme, je ne veux pas qu’un mec me touche.
    
    — D’où te vient ce rejet des hommes ?
    
    — A quatorze ans, ...
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