Dimanche 28 novembre 1981
Datte: 25/12/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceran, Source: Hds
... sur la construction du pont, alors que je restais au bureau à jeter un œil sur la paperasse, ses rapports, factures, … sachant que le grand chef était pointilleux sur ces choses. Une demi-heure après, Mathilde frappa à la port et : « Jean voulez vous un café, …j’en ai du frais, … »
Moi : « Avec plaisir, … » Là, je remarquais que son corsage, offrait une vue très agréable et peu raisonnable sur ses appâts naturels et se retournant pour aller chercher la café, sa jupe, disons plutôt sa minijupe, permettait de deviner un joli cul, bien rond et à priori bien ferme. Quelques minutes après elle arrivait, un café, du sucre, … le tout sur un plateau, qu’elle posa sur la table de réunion en se penchant, me permettant d’avoir une vue plus plongeante sur son généreux décolleté, quelques secondes, et elle se redressait pour partir, elle était arrivée à la porte… sans réfléchir, je lui dis : « J’aimerais pouvoir mieux apprécier, … ce que tu as eu la gentillesse de laisser entrevoir, … » Instantanément, elle fit demi-tour, un sourire sur les lèvres, le sourire de celle qui se disait que son truc avait marché, et une main sur le bouton supérieur de son corsage, pratiquement en train de le déboutonner et s’approchant de moi : « C’est ça que tu veux voir, … »
Moi : « Oui, … montres moi, … viens plus près, … »
Ce n’était même pas la peine de lui préciser, elle était à coté de moi, le corsage pratiquement entièrement ouvert. J’étais en train de faire une connerie, mais la vue de ses ...
... jeunes seins, pratiquement offerts, bien ronds, dont les tétons commençaient à se dresser au milieu de larges aréoles, m’éblouissaient, c’était plus que tentant. Sans réfléchir, je l’attirais vers moi et entrepris de finir de les sortir du corsage et entrepris de gouter, caresser, téter ces belles choses que l’on m’offrait. Et loin de se refuser, elle me les offrait avec des soupirs d’aise, les changeant de façon à ce que chacun ait son plaisir. Si au début mes mains s’étaient occupées de ses seins, elles étaient descendues pour lui prendre la taille et l’attirer entre mes jambes. Enfin, n’y tenant plus d’envies, de curiosité, la main gauche la tenant toujours par la taille, la main droite se posa entre ses cuisses et caressa l’intérieur de sa cuisse droite, juste en-dessous de la minijupe. Il y eut un léger resserrement des cuisses, peut-être une hésitation pour enfin s’ouvrirent, me laissant la caresser. Remonter vers sa chatte était mon objectif, mais minijupe droite, serrée, cuisses écartées, difficile d’aller plus haut. Je pense qu’elle s’en rendit compte, car abandonnant ses seins, elle remonta sa jupe à la hauteur de ses hanches et écarta un peu plus ses cuisses, alors que ses mains reprenaient ses seins qu’elle m’offrait et que la mienne remontait jusqu’à sa chatte nue, toute chaude, aux grosses lèvres gonflées et légèrement humides. Ma main se posa sur sa chatte, ou plutôt, par un léger mouvement de ses hanches sa chatte vint se poser dans ma main. La seule réaction à ...