1. C'est donc cela le naturisme (5)


    Datte: 25/12/2021, Catégories: Gay Auteur: Etrenu, Source: Xstory

    ... Heureusement que le cou de taureau de Charly peut, sans difficulté, soutenir les fesses écartées.
    
    La seule manière de mieux le sucer est de finir de m’enfoncer en Charly. Je me concentre alors sur le fion que je suis en train d’enculer et pousse sans plus trop me soucier des réactions de mon passif.
    
    Peu après, je sens les muscles de ses fesses écraser mes poils pubiens : il est enfin entièrement emmanché. Comme moi qui en ai une superbe dans le cul. Et deux autres tout aussi superbes en main. Plus une quatrième dans la bouche. Le rêve !
    
    Stéphane entame des va-et-vient doux et respectueux. Il me lime avec délicatesse, conscient que tout faux-mouvement de ma part pourrait être douloureux et pour le phallus placé entre mes dents, et pour le rectum étrangement délicat de la montagne de muscles.
    
    Alors je branle de plus belle les deux queues en main. Je suis au paradis. J’entrevois le ciel bleu azur, la beauté des roches, le clapotis discret des vagues. Je me fais admirablement mettre. Je suce la bonne queue avec ma bouche toute en révérence. Autant que je palpe les bourses bien pleines et que je masturbe les deux hommes.
    
    Gourmands, ils se penchent à leur tour pour lécher les bourses de leur pote dont la verge butine mes lèvres. Trois langues pour lui, l’acrobate est bien loti !
    
    Bien loti, mais moins que moi avec mes quatre queues...
    
    Notre figure acrobatique commence à tanguer sur ses fondations. Le gars qui me butine les lèvres commence à trembler, tout ...
    ... comme Charly qui le retient largement par la nuque. Conscient des risques, l’acrobate décide de se reculer et se coller dos à la paroi, rendant ma bouche orpheline, soulageant le dos de Charly.
    
    Glissant sur une prise, il manque de tomber, mais se retient de justesse. Craignant qu’il ne blesse sa virilité, nous l’enjoignons d’arrêter son équilibrisme et de retrouver la terre ferme.
    
    Ce qu’il fait en riant, très fier de sa voltige.
    
    Je me sens alors libre de sodomiser plus activement mon tas de muscles. Délaissant un phallus bien dur, je passe ma main sous mon enculé pour le tâter. Sa verge s’est entièrement repliée. Elle est toute molle. Malgré mes efforts, elle ne se déploie pas.
    
    — Attends, j’essaie ! dit l’acrobate en glissant sous les muscles saillants pour avaler le sexe et le sucer bruyamment.
    
    Je n’ai plus qu’à reprendre le phallus en main et tenter d’amortir les coups de boutoir que je prends dans le cul pour ne les répercuter que partiellement dans le fion de Monsieur muscle.
    
    Je découvre vite qu’être rafalé analement sans rendre la pareille au conduit que l’on pistonne est chose quasi impossible. Naturellement, mon corps cherche à offrir ce qu’il reçoit dans un identique tempo.
    
    Plus j’accrois l’intensité de mes coups de queue, plus sucer Charly pour l’acrobate devient dangereux. Il se décide finalement à lâcher la verge toujours aussi molle et glisse sur le côté pour admirer l’amoncellement de corps mâles luisant au soleil.
    
    Il s’approche de moi et me ...
«12...456...13»