1. Une collègue a besoin de réconfort (5)


    Datte: 24/12/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory

    Cette fois, c’est la fin du séjour de Célia chez moi. Je suis un peu déçu que ça ne dure pas un peu plus. Mais heureusement, son mari va rentrer 24h plus tard que prévu. Du coup, ma coquine reste pour « en profiter ».
    
    La veille de son départ, avant d’aller dormir, on en a bien profité ! Elle en voulait la gourmande. Elle m’a épuisé. Après une baise banale, mais intense, on s’est endormis.
    
    Le lendemain, je dormais encore un peu. J’étais sur le point de me réveiller, quand j’ai senti que quelque chose frottait mon sexe tendu. De la chaleur enveloppait ma cuisse. Je bandais fort. Est-ce que ma coquine n’avait pas eu sa dose la veille ?
    
    Ouvrant les yeux, je pus voir le sourire de Célia. Elle savait ce qu’elle faisait : nus tous les deux, elle, allongée sur le côté, sa jambe repliée, elle frottait son genou sur ma queue. Sa petite chatte brulante était collée à ma cuisse. Je souris à mon tour. Après tout, j’allais encore passer un bon moment.
    
    Elle continuait son manège en me regardant dans les yeux, comme pour me provoquer. Je passais une de mes mains sur ses fesses pour la caresser, tout en approchant mes lèvres des siennes. Tandis que nos lèvres s’entremêlaient, ma main sur ses fesses descendit sous sa croupe pour atteindre sa fente chaude et humide.
    
    Je la voyais sourire pendant que mes doigts s’immisçaient en elle. Comme à mon habitude, je voulais faire monter son désir, l’exciter tant que je pouvais avant de m’introduire.
    
    Pour faire monter un peu la ...
    ... pression, je me suis mis en position pour la lécher entre les cuisses. Je sais que Célia aime le cunni !
    
    Mais au moment où je m’exécutais, elle anticipa, se retourna rapidement et se leva du lit.
    
    -« Bon Chouchou, il faut que je fasse ma valise quand même !
    
    — Tu ne vas pas me laisser dans cet état ? »
    
    Elle laissa échapper un rire en me tournant le dos, elle voulait encore me provoquer.
    
    Célia m’avait tellement excité que je bandais comme un dingue. Pas question de rester comme ça... Je voulais avoir mon compte. Elle voulait jouer ? D’accord... Que faire ?
    
    L’idée m’est venue très vite. J’ai ouvert le tiroir de la table de nuit pour y prendre la paire de menottes que Célia avait commandée, mais dont nous ne nous étions pas servis.
    
    -« Qu’est-ce que tu fais chouchou ?
    
    — Ah ! Non ! Ne te retourne pas ! » Et alors qu’elle tournait quand même légèrement la tête, juste assez pour ne pas voir ce que je tenais dans les mains, je lui menottais en un clin d’œil, l’une et puis l’autre main ensemble.
    
    -« Non chouchou ! Qu’est-ce que tu fais ?
    
    — Il va bien falloir les essayer non ? » Dis-je en éclatant de rire.
    
    -« Non, non chouchou, ce n’est pas drôle » dit-elle face à moi de son regard mi-outré, mi-surpris. Elle se retourna pour me présenter les menottes : « détache-moi !
    
    — Ah ! Je ne sais pas...
    
    — Ce n’est pas drôle...
    
    — On avait bien commencé la matinée, et toi tu voulais faire tes valises en me laissant privé de plaisir ?
    
    — Mais chouchou, tu sais bien ...
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