1. Le Squash... Et Plus


    Datte: 08/08/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: byfmp, Source: Literotica

    ... faire pendant le chemin de retour..
    
    On quitte le tournoi vers cinq heures et nous nous dirigeons vers la campagne qui sépare Nottingham de chez nous. Il fait toujours chaud. Marie-Paule est excitée. Elle se caresse à travers son pantalon. Elle n’arrive pas à y passer sa main. Sitôt une aire de repos déserte trouvée, elle se presse d’enlever son jean serré et son slip mouillé, pour se masturber en toute liberté. Elle est très belle, les fesses nues et les seins visibles à travers la dentelle de sa tunique. Elle rabat le siège, et pose ses pieds sur le tableau de bord. Les minutes passent. Elle s’acharne, elle devient frustrée, ça ne vient pas. Elle tend la main, ouvre ma braguette, pour m’indiquer ce qu’elle veut. A ce moment-là je me rends compte que chez moi il ne se passe rien! J’ai beau être excité comme tout, je n’arrive pas à bander. Moi, ça m’inquiète, mais Marie-Paule est trop partie pour s’en apercevoir. Elle marmonne qu’elle veut du gros, qu’elle a envie de se sentir défoncée…
    
    Brillante inspiration! Sur la banquette arrière, il y a le jeu de tournevis acheté en chemin. Il y en a sept. Les plus petits ne feraient pas l’affaire, mais à partir du numéro 4, ils ont des poignées en plastique translucent, en forme de cylindre, au bout arrondi. Je prends le numéro 4, qui doit avoir un diamètre de deux centimètres, plus ou moins, et je l’enfourne dans le vagin de Marie-Paule. Ça lui plaît, et je le fais rentrer et sortir lentement. Elle secoue la tête, et grogne ...
    ... qu’elle veut plus gros. Le plus grand mesure bien 7 cm de largeur. J’y vais doucement, mais bientôt il est au fond de Marie-Paule, et elle se sert de la lame pour se ramoner le sexe, en poussant de petits cris de plaisir.
    
    Moi, je la regarde, le tournevis numéro 4 à la main. Je suis tenté, et je cède à la tentation. Elle a les pieds sur le tableau de bord, bien écartés, ce qui ouvre aussi ses fesses. Je trace la raie des fesses avec le poignée couvert des jus de Marie-Paule. Je sens quand il passe sur son anus, et elle frissonne. J’y mets un peu plus de pression, et elle accentue la vitesse de pénétration du gros machin dans son sexe. J’arrête mes va-et-vient, et me concentre sur l’anus même. Encore un peu de pression, et il glisse à l’intérieur, elle grogne, ne contrôle plus sa tête qu’elle secoue rapidement, d’un côté à l’autre. Elle jouit très fort, en me criant de sortir l’engin de derrière. Ça lui a fait mal, mais elle a adoré la sensation d’être remplie devant et derrière à la fois. Elle se calme, puis s’occupe de moi. Sous ses caresses ma défaillance momentanée est vite oubliée.
    
    Ce soir-là nous faisons l’amour. Je jouis, mais elle n’a pas encore fini. Elle se retourne sur le ventre et commence à se caresser. J’écarte le drap et découvre sa nudité. Les ondulations de son bassin me font comprendre qu’elle a envie de quelquechose. Je trace le vallon entre ses fesses avec le doigt. Elle marmonne. Je fais une pause sur son anus. Elle pousse contre la pression envahissante. ...