Nymphomane, moi ? Tome II (8)
Datte: 22/12/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... autrement...
Des pensées se bousculèrent dans ma tête... Il n’est pas beau, vieux, grassouillet... mais il est noir, il a une bite énorme... et Boulier filme... je mouille, je le laisse me baiser... oui petite Salope et tu vas aimer ça !!
Il me releva, se mit derrière moi, sa grosse main noire m’engloba le sexe, son majeur et son index pénétrèrent dans ma fente trempée. J’écartai les jambes pour faciliter ce doigté. N’Doumbé admira mon dos qui se trouvait devant lui, il le lécha tendrement... il recula un peu, tout en continuant ses caresses. Ses yeux se portèrent sur l’arrière du porte-jarretelles.
— C’est ravissant, en Afrique, il n’y a pas ces dessous. Ça vous va très bien d’ailleurs. Cela met en valeur votre féminité... et ça m’excite beaucoup... vraiment beaucoup ! Oui beaucoup ...
La partie en dentelle s’arrêtait juste à l’endroit où partait la lanière qui soutenait le bas, la fermeture en était assurée par une mince bande de tissus, tranchant sur le blanc de la peau. Elle était positionnée au début de la raie qui partageait mes fesses fermes.
Il en approcha son énorme sexe noir et le glissa entre la peau et la bande de tissu blanche, et le frotta voluptueusement le long de cette raie qui lui donna sans nul doute des idées.
Il me pencha sur la petite table, me demanda d’écarter les jambes, j’obéis de bonne grâce. Tenant son gros pénis d’une main, il le passa entre mes jambes, le gland fit quatre ou cinq aller et retour le long des lèvres trempées de ...
... ma chatte. Le bout à chaque passage s’attarda sur mon clitoris et le frotta doucement.
Puis, il l’entra dans mes petites lèvres et attaqua l’entrée de mon vagin. Je cambrai les reins pour mieux le recevoir. Ma vulve, bien lubrifiée, pénétrée depuis quelque temps par des sexes que l’on pouvait qualifier hors normes, n’eut pas trop de mal à accepter d’un seul coup la moitié du gros pénis noir. Il fut étonné de la facilité de pénétration de son gros tuyau noir. Il le retira presque entièrement et d’un coup de reins puissant, enfonça son pieu entièrement. Je criai de plaisir. Il se mit alors à me labourer à grands coups de reins. Ses mains serrèrent fortement mes seins comme pour les broyer. Je hoquetai de contentement.
Toujours en moi, il se recula en m’entraînant et s’assit sur le banc de séparation du sas. Il me mit sur ses cuisses face à lui et m’empala de nouveau sans coup férir.
Je ne sentis plus que cet énorme rouleau noir qui remonta le long de ma paroi vaginale, qui me mit le sexe en feu. Il prit de nouveau mes seins dans sa bouche et mordit un peu brutalement mes tétons, cela me fit à nouveau gémir de plaisir. Je fis pénétrer toute seule dans mon vagin la grande hampe noire, jusqu’à la garde, et commençai des mouvements de torsion de mon bassin autour du sexe qui sembla encore avoir doublé de volume. J’appuyai fortement de tout mon poids, sur les cuisses du pharmacien congolais pour que celui-ci ne puisse pas retirer sa bite. Je frottai plusieurs fois mes tétons ...