Le sujet qui fâche
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
fh,
grp,
hagé,
fagée,
frousses,
couplus,
groscul,
campagne,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
échange,
Partouze / Groupe
portrait,
Humour
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... vitesse de la pluie qui fouettait les visages. Comme j’étais venu directement du boulot, en voiture, je me proposai pour reconduire ceux qui étaient à pied. La dernière fut Murielle, une bonne femme très dynamique et rigolote. Instinctivement, je coupai le moteur pour l’accompagner dans le noir jusqu’à sa porte et vérifier éventuellement s’il n’y avait pas de visiteurs indésirables. Ses enfants passaient le week-end chez leur papa, son ex-mari.
Il y a quand même des gens qui cherchent leur malheur. À mon avis, de la façon dont elle s’était habillée ce soir, Murielle, bien qu’elle n’ait que 32 ans, n’avait aucune chance de retrouver un copain. C’était pourtant une blonde aux yeux verts, au visage mignon, à la poitrine presque arrogante. Affligée d’une croupe gigantesque, cette dame exubérante avait choisi de porter un pantalon-caleçon noir en tissu très fin, qui lui moulait ses cuisses et ses fesses, toutes deux énormes. Il fallait vraiment le faire exprès ! Cela ne lui allait pas du tout. En plus, le caleçon dévoilait par derrière les contours d’une petite culotte d’un fort beau gabarit, sans parler du fond de culotte renforcé pas du tout esthétique. Par devant le renflement du pubis tendait à tel point le tissu que l’on distinguait l’emplacement de la fente du minou, qui semblait aspirer le tissu.
Le moteur de ma grosse berline allemande de fonction démarra, mais ma boite de vitesse automatique resta bloquée. Murielle, sur le pas de sa porte, m’offrit une ...
... hospitalité que j’acceptais de bon cœur : on était à l’autre bout de la ville, le temps était épouvantable, je n’avais pas ma parka fourrée à capuche. J’appellerai le camion de dépannage le lendemain matin. J’allais dormir dans le clic-clac du salon, en slip, bien au chaud sous une couverture polaire, à trois mètres d’un insert qui ronronnait.
Dans la nuit, Murielle me secoua et se glissa sous la couverture : elle n’arrivait pas à trouver le sommeil. Elle m’interdit d’allumer car elle ne voulait pas que je la voie toute nue. On s’envoya donc en l’air à la seule petite lumière du foyer à bois. Je découvris le corps de Muriel au toucher, mes mains naviguant sur l’immense surface de sa croupe ferme. Une petite baise ma foi inattendue et agréable. Au petit matin, je pris le café tout seul. Murielle m’avait laissé un petit mot sympa avant d’aller faire son jogging avec des copines.
Sabine n’arrivant toujours pas à clore sa liste, elle me chargea personnellement de démarcher madame Dubus, vu le contentieux entre l’ancienne directrice d’école et ma copine. Inutile de préciser que ce n’était pas le genre de tâche dont j’étais friand ! L’ancienne institutrice ne fut pas vraiment enchantée en m’ouvrant la porte car j’étais venu à l’improviste… Faut dire qu’elle portait un vieux tablier boutonné sur le devant, des savates qui avaient connu des jours meilleurs et des bigoudis recouvrant la quasi-totalité de son crâne. Bref, toute honteuse de son apparence peu flatteuse. L’invitation à ...