Naissance d'une femme (2)
Datte: 20/12/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Laure8314, Source: Xstory
... je serai très doux, mais si tu préfères, j’arrête là.
— Non. Je t’en supplie.
— Détends-toi Laure, laisse-toi guider et faire. Si tu te raidis, tu auras mal.
Ses mots accentuaient de gestes doux et d’une infime clairvoyance, me remirent à l’aise. J’ai entre-temps relevé ma tête afin de mieux voir le spectacle de son sexe perforant mon intimité. Arnaud présente son gland contre ma vulve trempée. Pousse légèrement pour en écarter les chairs, et doucement il entre. Il bute contre mon hymen. Nous nous regardons, Arnaud comprit qu’il pouvait me prendre. J’ai les yeux grands ouverts rivés sur le sexe de mon frère qui entre en moi, lorsque d’un coup de reins, sa queue disparaît dans ma matrice. Mon hymen vient de rompre sous l’impulsion de sa verge. Je suis surprise par la fulgurance de la chose. J’en suis bouche bée. La douleur fut moins intense, mais tout de même présente que je ne l’avais imaginée. Arnaud reste immobile, son sexe dans mon vagin, il me laisse le temps de m’habituer au mandrin qui me possède. C’est une drôle de sensation, je me sens pleine, comme envahie par un cylindre qui bouche mon entrée.
La douleur disparaît petit à petit, laissant place à une agréable sensation de bien-être. Arnaud sent que je me détends et il reprend sa lente progression. Il se cale au fond et commence des lents va-et-vient. Sous la caresse interne de son pénis, et de ses doigts sur mon bouton d’amour, je suis bien et heureuse. Arnaud accélère progressivement ses mouvements, ...
... la cadence devient plus soutenue, il entre et sort à présent facilement de mon vagin, je commence à ressentir le plaisir. Je me mords la lèvre inférieure, mon ventre se creuse à chaque coup de boutoir, mes joues sont pourpres, mon souffle est court, mes tétons sont tendus à l’extrême, je sens que je coule de mon antre, je cherche mon oxygène, je suffoque, j’halète, je gémis. Tous ces signes sont évocateurs de mon plaisir. Je soulève mon bassin pour aller à la rencontre de ses mouvements. Arnaud me possède par de grands et puissants coups de reins qui m’arrachent cris et soupirs. Nous sommes en sueur.
Arnaud est en appui sur ses mains, je me suis agrippée à ses avant-bras, mes cuisses sont largement écartées, il est de plus en plus facile pour Arnaud de me posséder. Je sens une houle me prendre le ventre et remonter dans ma gorge, une onde de choc parcourt l’échine de mon dos traversant mes reins et ma colonne vertébrale. Je découvre par hasard que les contractions involontaires de mon vagin emprisonnent le phallus fraternel le serrant plus fort.
— OHHH...... Laure..... OUIIIIII..... J’aime ce que tu me fais. Lança Arnaud.
Je sentis son sexe grossir de plus en plus, ses coups de reins de plus en plus vigoureux.
— Laure...... Ma sœur... Je... VAIS... JOUIIIRRRRRRR.....!!!!!!!
Je le voulais en moi, contractant mon vagin le plus intensément possible, je ne laissais aucune chance à Arnaud.
— OUIIIIIIII....... AHHHHH. Cria-t-il.
Arnaud déversa son abondante ...