1. Naissance d'une femme (2)


    Datte: 20/12/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Laure8314, Source: Xstory

    ... s’aperçoive de l’émoi qui se manifestait sur ma poitrine et qui se propageait dans mon entrejambe. Je me jetai donc à l’eau, la différence de température accentua l’érosion de mes tétons, j’avais ainsi un prétexte en cas où. Arnaud et moi barbotions dans l’eau, profitant d’une brève opportunité, Arnaud se plaqua contre moi de façon beaucoup plus lascive que d’habitude.
    
    — Alors sœurette, on mate son frère.
    
    Je me mis à rougir, ne sachant plus quoi dire, faire, je me mis à balbutier :
    
    — Euh... Non... euhhhh... Mais... N’importe quoi Arnaud. M’empressai-je de rétorquer.
    
    — Arrête Laure, j’ai vu sur ton transat, tes seins pointés. Ceci dit, ils doivent être agréables à toucher, sensibles, doux, fragiles. Arnaud me fit une louange de ma poitrine.
    
    Tout en me parlant de mon trouble, je m’aperçus que lui-même était en bien fâcheuse posture avec une érection qu’il avait bien de mal à dissimuler.
    
    — Mais dis-moi, tu bandes pour moi. Lui dis-je pour le déstabiliser.
    
    — Tu vois Laure, moi je ne nie pas l’évidence, oui je te l’avoue, c’est toi qui me met dans cet état. Dit-il. Tout en me prenant la main et en la posant sur la bosse qui déforme son short de bain.
    
    Prise au dépourvu, j’étais sans réaction verbale, estomaquée par sa franchise et son aplomb. Sans même m’en apercevoir, je laissai ma main sur sa bosse et me surpris même à le caresser à travers le tissu.
    
    — Tu vois sœurette, tu en pinces pour moi. Dit-il avant de se soustraire à mes caresses.
    
    Le reste de ...
    ... l’après-midi ne fut que provocation verbale à voix basse, regard langoureux et autre moyen subjectif que nous avions pour nous chauffer.
    
    Était-ce uniquement un jeu ? Y avait-il autre chose ? Arnaud jouait-il avec moi ?
    
    Que voulais-je également ? Il me fallait trouver réponse à toutes ces questions. La fin de journée approchant, le ciel devint plus sombre, l’air plus frais. Nous décidâmes de rentrer et de profiter du début de soirée bien au chaud dans la maison familiale. Avec maman, nous avions préparé un petit plateau apéro très sympa, assise à côté de mon frère, je profitais, nous profitions de la promiscuité du canapé deux places pour se frôler, s’effleurer, se toucher de façon anodine. Bref, ce petit jeu révèle ce que lui et moi voulions l’un de l’autre. Je n’ai plus aucun doute, je veux que ce soit lui. Il ne me resta plus qu’à trouver l’excuse, mais surtout le moment propice. Le soir venu, un orage éclata avec une violence inouïe, le tonnerre, les éclairs, le bruit. Apeurée comme une petite fille, je pris mes jambes à mon cou et je frappai à la porte de la chambre d’Arnaud.
    
    — Oui Laure, entre.
    
    — Arnaud j’ai...... Je peux ?..... demandai-je.
    
    — Oui, viens. Dit-il d’une voix rassurante.
    
    J’étais obnubilée par l’orage et ses méfaits sur moi, que j’en oubliais la nudité de mon frère et ne prêta pas cas de son début d’érection. Ouvrant en grand sa couette, je me réfugiai dans son lit. Allongée en chien de fusil, Arnaud vient se blottir contre mon dos, passe ...
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