Sortie en canoë - Histoires de Sexe

Sortie en canoë

... Sabine, je vois Bertrand passer derrière moi et offrir son membre dans la bouche de sa femme. Béatrice, restée assise dans son fauteuil, écarte ses jambes et se masturbe frénétiquement en contemplant nos ébats. Après éjaculations et orgasmes, nous finissons nos verres avant d’aller nous coucher sagement, dans nos chambres respectives.

Au programme du lendemain, une promenade en canoë, un pique-nique près d’un vieux pont romain, puis une partie de pêche. Nous nous retrouvons tous les quatre au petit déjeuner devant des bols de café, des fruits et des céréales. Après un ménage rapide, nous préparons des sandwiches et des boissons pour le déjeuner sur l’herbe, prenons deux sacs à dos et nous nous dirigeons vers la rivière. Béatrice se place devant Bertrand dans le premier canoë. Sabine fait équipe avec moi dans le second. La rivière est large, bordée de verdure et baignée par le soleil. Après quelques coups de rames, nous retirons nos tee-shirts et poursuivons notre excursion les torses nus. Des pêcheurs sifflent sur notre passage en zieutant les seins de nos femmes. Nous arrivons au pont romain et accostons sur la rive pour déjeuner. Sous de vieux chênes, Béatrice étend une couverture, sur laquelle elle dispose sandwiches et sodas. Après le repas frugal, une sieste à l’ombre est la bienvenue en écoutant le bruit des feuillages et le chant des oiseaux. Au réveil, nous embrassons nos femmes dont les corps moites transpirent d’une odeur forte. Nous comprenons rapidement ...

... qu’elles souhaitent faire l’amour dans un lieu plus discret.

Nous nous installons derrière un buisson dans l’herbe, à l’angle d’une prairie. Béatrice entreprend de chevaucher Bertrand en se frottant le clitoris. Notre ami lui tire les pointes des seins pour l’exciter, tout en participant aux mouvements de pénétration en contractant son fessier. Je fais un cunnilingus à Sabine. Avec mes doigts, j’écarte ses grandes lèvres, puis aspire les petites lèvres humides. J’entre deux doigts dans la cavité qui ne tarde pas à devenir une véritable fontaine. Je la pénètre en missionnaire et l’embrasse alors qu’elle croise ses jambes autour de mes hanches. Je la pilonne en secouant mes couilles contre ses fesses. À proximité, Bertrand prend en levrette ma femme qui regarde au loin des vaches paître dans le pré. Des gémissements de plaisir de part et d’autre concluent cette partie fine.

Assis sur le muret du vieux pont, nous contemplons la rivière et ses nénuphars aux fleurs jaunes avant de regagner les canoës. Sur le retour, les hommes pêchent quelques gardons avec des lignes suspendues à des roseaux. Bertrand et moi-même ne tardons pas à sortir plusieurs poissons de l’eau, de quoi faire une friture pour le dîner. Les gardons frétillent dans le fond des embarcations, ce qui amuse nos femmes. Les gardons frits persillés sont mangés accompagnés d’un vin blanc sec frappé. Suivent la traditionnelle salade composée méditerranéenne et une tarte aux pommes. Puis nous montons au premier étage où se ...