1. Mes premiers papys (4)


    Datte: 18/12/2021, Catégories: Gay Auteur: Loulou10, Source: Xstory

    ... la bonne pression, je me laisse aller. La détente arrive vite, je me sens bien. Ses mains me massent les jambes qu’elle me fait délicatement écarter, l’air de rien. Je sens ses mains monter et descendre, et en même temps toucher mes bourses et mon pénis. Ce toucher me fait reprendre conscience, je cache ce qui est à la fois ma surprise et mon excitation qui monte. J’ai les yeux fermés et je la sens à mes côtés, ses mains repassent sur mon dos. Je la sens se pencher, ses tétons me toucher le dos accompagnant ses mouvements. Une petite voix douce me glisse à l’oreille le souffle chaud dans le cou.
    
    — J’espère que tu te détends bien.
    
    — Oh oui c’est très agréable, je te remercie.
    
    Son corps contre le mien m’enflamme, je sens mon bas du dos être investi, ses mains n’appuient plus, mais le bout de ses doigts me caressent les fesses, je me laisse faire. C’est doux. Ils glissent dessus puis doucement, petit à petit, s’insinuent dans ma raie. C’est tellement bon que je lâche un soupir, je me fais démasquer. Elle continue. Machinalement, mon fessier se lève à chaque passage de ses doigts sur mon anus. Elle me demande de me retourner. Je ne sais quoi faire, je suis carrément en train de bander.
    
    — Euh... c’est que là... je suis... disons...
    
    — Ne sois pas gêné, retourne-toi.
    
    Me ...
    ... voici sur le dos, nu, en présence d’une femme nue en train de me masser, le sexe droit comme un « i ». Ses mains huileuses massent mon torse, mon ventre, ses seins et ses cheveux me touchent, me procurant des frissons, ce n’est pas comme ça que je vais débander. Elle descend, masse une jambe puis l’autre, je la regarde, elle est magnifique, son âge ne me dérange pas. Nos regards se croisent, nous nous sourions. Elle est entre mes jambes, me masse doucement le ventre et le torse, ses cheveux enroulés sur mon sexe dressé, je sens qu’elle souffle dessus, je geins de plaisir. Elle glisse sur un côté, reprend de l’huile et nos regards ne se lâchent pas. Je sens ses mains saisir mon sexe, ma bouche s’ouvre, mais rien n’en sort. Nous continuons à nous regarder et sourire. Ses mains glissent sur mon sexe de haut en bas, le gland totalement sorti de son prépuce, dur comme du bois. Ses va-et-vient sont doux, s’affairant sur mon frein, avant de reprendre sa lente et douce masturbation.
    
    Il ne faudra pas longtemps pour que mon souffle s’accélère et que je râle en lâchant de puissants jets de sperme sur mon torse. Un petit bisou dans le cou, et là voilà allongé contre moi. Mon sexe retrouve sa taille de repos. Nous ne disons rien et profitons de ce petit moment, où rien ne se passe dans ma tête. 
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