1. Liliane, mère dévouée (9)


    Datte: 18/12/2021, Catégories: Transexuels Auteur: TALON1314, Source: Xstory

    ... gendre.
    
    — Allez sois gentil maintenant, c’est à ton tour. Ouvre grand la bouche comme ma fille.
    
    — Non, elle est dégueulasse.
    
    — Tu crois peut-être que tu ne vas sucer que de beaux jeunes hommes au bureau ?
    
    Mon gendre ne répondit pas.
    
    — Oh et puis ça suffit. Ca commence à bien faire tes caprices.
    
    Laeticia, va chercher mes menottes. Les vrais, pas celles avec la moumoute !
    
    — Mais qu’est-ce que vous comptez faire ?
    
    — La ferme ! Tu vas voir comment je dresse les petites lopettes capricieuses dans ton genre.
    
    Ma fille revint avec ce que je lui avais demandé, et j’attachai aussitôt les mains de Mathias dans le dos en prenant soin de bien serrer les menottes.
    
    — Maintenant, cesse de jouer à la vierge effarouchée et ouvre grand la bouche. Et surtout, ne t’avise pas de mordre la queue de ton beau-père. Il m’arrive encore de m’en servir !
    
    Laeticia et moi éclatâmes de rire.
    
    Mathias lui gardait les mâchoires serrées.
    
    — Comme tu veux !
    
    Je lui maintins la tête et lui pinçai fortement le nez. Mon mari enfourna sa queue dans sa bouche dès qu’il ouvrit les lèvres.
    
    — Et rappelle-toi ce que je t’ai dit. Si je vois la trace de tes dents sur le gland, je te garantis que tu auras celle des miennes sur le tien pendant plusieurs jours !
    
    Contraint et forcé, Mathias commença à suçoter timidement son beau-père.
    
    — Mais enfin, mets-y un peu plus de conviction. On pourrait croire que tu n’aimes pas ça. Attends, je vais t’aider.
    
    Je saisis mon gendre par ...
    ... les cheveux et me mis à faire faire de grands mouvements de va-et-vient à sa tête. Agacée par son manque de coopération, je poussais à fond de façon à ce que son menton cogne à chaque fois contre les couilles de mon mari. Le bout du gland heurtait la luette de Mathias qui n’était pas encore habitué à pratiquer des gorges profondes, et il essayait vainement de tousser pour recracher la queue qui lui remplissait la bouche.
    
    Ma fille s’en émut.
    
    — Doucement quand même maman, il va s’étouffer.
    
    — Mais non... Ne t’inquiète pas, lui répondis-je en continuant mes mouvements de va-et-vient. C’est comme ça que ta grand-mère m’a appris à sucer avec ton grand-père. Et regarde, je n’en suis pas morte !
    
    Je m’adressais maintenant à mon gendre.
    
    — Alors, vas-tu gentiment sucer cette queue comme une jeune fille obéissante, ou faut-il que belle-maman continue à sévir ?
    
    — Keuf, keuf... non... c’est bon... keuf, keuf... je vais le faire... keuf keuf... tout seul.
    
    Je relâchais ses cheveux et déposai un baiser sur la joue.
    
    — Et bien voilà. Tu es enfin devenu raisonnable. J’espère que je ne serais pas obligée de me montrer de nouveau sévère avec toi. Tu sais bien que j’ai horreur de ça !
    
    Mathias avait compris la leçon et s’activait du mieux qu’il pouvait sur la vieille queue de mon mari. Sans les mains pour lui masser la prostate, c’était un bel exploit de le maintenir ainsi en érection, mais il risquait de s’épuiser à pomper avant de le faire éjaculer.
    
    Dans mon infinie ...
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