1. Les seins d'Olga


    Datte: 18/12/2021, Catégories: ff, ffh, hplusag, fplusag, candaul, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, init, lesbos, Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe

    ... scintillement de ses yeux et leur effervescence inhabituelle. Dans ces moments où elle se laissait aller à son excitation, Elodie était une autre, bien différente de l’image de jeune étudiante timide qu’elle donnait en première apparence. C’est ça qu’Olga avait tout de suite compris.
    
    Les mains de Philippe, avec une infinie douceur, immobilisèrent le visage d’Elodie et il planta son regard dans le sien. Elodie ne savait pas et ne voulait pas mentir. Elle voulait plus que tout passer inaperçue et sa spécialité était justement de tout le temps baisser les yeux. Passées les premières secondes de gêne, tandis qu’elle continuait à le masturber, ses pupilles parlèrent en vérité et transparence.
    
    — Ce sont des yeux de Princesse pour moi
    
    Philippe la laissa baisser les yeux et reposa un baiser sur son front, puis un léger et tendre baiser sur les lèvres de la jeune fille. Il avait vu les larmes lui monter et ne voulait pas l’obliger à en dire plus. C’est homme était un vrai gentleman et Elodie, effectivement, une petite salope. Ayant fait ce constat, la queue de Philippe s’était encore plus tendue et la masturbation accélérée. Olga coupa court à tout :
    
    — Déshabille-moi, petite.
    
    Les doigts fins d’Elodie quittèrent à regret la queue du mari pour se poser sur les hanches d’Olga. Philippe quitta le cercle magique et repartit tout content vers son fauteuil. Connaissant si bien son épouse hypersexuelle, Philippe savait que la soirée serait longue. L’acte deux ...
    ... commençait.
    
    Depuis qu’elle avait deviné tout le potentiel d’Elodie, Olga était en feu. Elle s’était occupée de la jeune étudiante et celle-ci avait eu, sous les caresses d’Olga, un orgasme d’une violence inouïe. Olga n’était pas peu fière d’être parvenue à ce résultat, alors que rien ne laissait prévoir que cette petite avait un tel talent.
    
    Tout cela avait encore accru l’excitation d’Olga. Les pointes de ses tétons lui faisaient mal, tellement ils étaient durs. Sa chatte était béante et elle était trempée. Ah si, à ce moment précis, il y avait eu un mâle vigoureux à proximité ! Elle aurait tendu sa croupe pour se faire baiser, pour dire la vérité : pour se faire démonter. Il y avait bien sûr Philippe, son chéri. Mais ils le savaient tous deux : dans ces moments-là, il n’était pas celui qui pouvait la satisfaire. Il lui aurait fallu un étalon vigoureux, endurant, particulièrement bien doté par la nature. Quand son excitation était à son paroxysme, Olga n’avait pas besoin de faire l’amour, mais avait une impérieuse envie de s’offrir, de baiser, d’enchaîner les orgasmes.
    
    À défaut, il fallait que cette petite étudiante, à son tour, s’occupe d’elle. Olga était hypersexuelle, jouir était, depuis son adolescence, un besoin vital pour elle. Depuis qu’à l’âge de seize ans, elle avait été dépucelée par un ami de son père, Olga ne comptait pas les amants et les maîtresses.
    
    Elle avait la chance d’avoir rencontré Philippe, l’amour de sa vie. Philippe était candauliste. Non seulement il ...
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