Mes premiers pas en tant que candauliste ( Partie 2)
Datte: 17/12/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Totocuelloxxx, Source: Hds
... j’aime baiser avec lui. Au moins ça ne dure pas quinze minutes. Et pourtant il me baise comme un vide-couilles. Il sait que j’aime ça. Imagine, si j’étais sa princesse… » Ses formules me faisaient à chaque fois plus d’effet.
Puis après la période des photos, ce fut au tour des vidéos. La première que je reçus présentait Ma femme ou plutôt sa pute, en levrette en train de se faire prendre par derrière. L’équivalent de la première photo qu’il m’avait envoyée. Mais là, il y avait le son. J’entrais dans une autre dimension.
Certes, la qualité de la vidéo était médiocre ; c’était filmé au téléphone portable, mais je voyais très bien qu’il se déchaînait sur elle. J’avais même peur qu’il lui fasse mal tellement il la baisait fort. Stéphanie hurlait sous ses coups de bite. Ça, c’était pour le côté excitant. Pour l’aspect humiliation, il n’était pas en reste. Ses commentaires semblaient faire encore plus jouir ma femme : « T’aimes ça, hein, ma salope ? Te la prendre dans le cul ! Regarde, je filme pour ton cocu. Il va être content. » Elle ne répondait pas, mais quand elle entendait ces mots elle gémissait (enfin, gémissait, hurlait plutôt) encore plus fort.
Sur les vidéos suivantes, il prenait un malin plaisir à la faire parler. Il la baisait par exemple en missionnaire en la filmant et lui disait : « Alors, c’est autre chose qu’avec ton mari, hein ? Dis-le que c’est bon. » Et de la voir, elle, le regard dans le vague, complètement en sueur lui répondant « Oui, c’est bon. ...
... Vas-y, mets-la-moi bien au fond. »
Cela faisait maintenant trois mois que je n’avais plus pénétré ma femme. J’avais juste eu le droit de la lécher 15 jours auparavant, mais ça avait été très rapide avec une rapide branlette de sa part. Il avait aussi pris son temps pour racheter une nouvelle machine.
Évidemment, j’avais matière à me branler pour les cinq années à venir avec toutes les photos et vidéos que j’avais reçues !
Nous avions trouvé une sorte d’équilibre – sans doute précaire, j’en étais conscient – mais dans notre vie quotidienne nos rapports s’étaient améliorés. Seule ombre au tableau : je ne pouvais pas mettre sur mon blog les photos et les vidéos qu’il m’envoyait ; on aurait pu les reconnaître trop facilement. Mais surtout, je n’avais rencontré qu’une seule fois son amant.
Un soir, profitant de l’amélioration de nos rapports, je lui demandai si je pouvais venir avec elle chez lui. ’était le moment ou jamais. Elle fut un peu amusée de ma demande et me dit qu’elle y réfléchirait.
Trois jours plus tard, elle me dit que Gregory était d’accord. Nous irions donc chez son amant le lendemain samedi vers 15 heures. J’étais évidemment aux anges, mais partagé entre excitation et appréhension. Le matin, je préparai mon appareil photo et mon caméscope. Stéphanie me regardait, amusée en levant les yeux au ciel.
En arrivant chez lui, un frisson me parcourut le dos : il n’était pas seul. Un ami était avec lui, en train de discuter devant sa voiture. Je me dis « Il ...