Mon fils, quel homme! (6) - Histoires de Sexe

Mon fils, quel homme! (6)

Elle pense vraiment que c’était hors du commun ! Ce coup de reins magistral, ce geste presque violent que Laurent venait de lui infliger pour s’immiscer dans ses profondeurs intimes sans qu’elle ne s’y attende vraiment, cela ajoutait au piment de l’interdit d’une relation comme la leur quelque chose de fort. Claire s’était sentie démunie face à cette intrusion, comme emportée d’un seul coup par toute cette vague d’intenses excitations cumulées depuis la veille... Depuis combien de temps d’ailleurs ? Le plaisir l’avait brutalement submergée, et ne la quittait plus, tandis que de sa chatte meurtrie débordait de semence encore chaude... Elle a maintenant le sentiment d’être littéralement imprégnée de cette masculine odeur qu’elle connaît parfaitement désormais, et qui la rend toujours aussi folle.

— Ton sperme sent très fort, tu sais ? s’exclame-t-elle, au moment où elle envoie glisser l’une de ses mains entre ses cuisses.

Laurent est surpris par une telle spontanéité. Il ignore comment interpréter ce propos, et pour tenter de comprendre ce que sa mère a voulu dire, il tourne la tête vers elle.

Il la surprend alors en train de se sucer goulûment les doigts... Elle semble déglutir quelque chose.

— Que manges-tu avec tant de voracité? s’inquiète-t-il.

Il n’est pas sûr de comprendre... Mais il a déjà moins de doutes lorsque, en lui souriant, sa mère expulse dans sa direction (volontairement ?) un soupir extatique...

Cette haleine... alors que l’instant d’avant ...

... elle se fouillait l’entrecuisse...

Elle aurait mangé... le jus qui dégorge de sa vulve ?

— Que manges-tu maman ? insiste-t-il avec une curiosité obscène.

— Il a une odeur entêtante... que dis-je entêtante ? Il a une odeur obsédante, ton sperme, tu sais ? poursuit-elle invariablement, en ventilant ses doigts sous le nez de son fils avec un air taquin.

Laurent n’en revient pas ! Il est maintenant presque sûr d’avoir vu sa mère avaler du sperme, sans y être contrainte, et sans vraisemblablement pouvoir contenir un certain enthousiasme ! Il peine à y croire, un doute subsiste en lui, pourtant l’idée fait son chemin, et l’excite beaucoup...

Claire comprend bien cela, et surenchérit:

— Tu sais... cette obsédante et délicieuse odeur que ton sperme a... elle m’avait déjà captivée il y a quelque temps, quand j’ai retrouvé ce bas nylon dans lequel tu t’étais fait éjaculer. Le sperme avait séché, mais il sentait encore... et il avait ce parfum qui me fait perdre la raison à chaque fois ! Mais à l’époque, j’ignorais que c’était toi.

Laurent se sent gêné, il rougit ! Pourtant, il boit les paroles de Claire. Et tout en l’écoutant, il contemple amoureusement sa bouche (au sujet de laquelle bien des idées lui viennent depuis la veille...).

Constatant que la queue de son fils enfle au fur et à mesure qu’elle se confie, Claire enchaîne:

"Ce matin, je pense que nous nous sommes croisés dans le couloir: toi tu venais d’y passer pour retourner te coucher, et moi j’y suis ...