Pauline Trébuche Dans La Suite - Histoires de Sexe

Pauline Trébuche Dans La Suite

... serviette épaisse mais je suis persuadée qu'il bande déjà. Ses gestes ont tout d'une caresse désormais et ses doigts ont commencé à me masser au-dessus de la cheville, et remontent toujours un peu plus le long du mollet. Pleins de frissons pour moi à chaque fois que sa main remonte en se frottant contre la résille blanche. Je mouille.

"C'est mon genou qui me fait le plus mal, je crois. Tout m'est douleur, je ne sens plus mes muscles. Pouvez-vous m'apporter un coussin pour mieux caler ma jambe".

Le temps qu'il trouve le coussin idéal pour me soulager, je tire rapidement sur la jupe. Deux ou trois centimètres, pas plus, mais on se rapproche du dénouement... ou du dénuement! Ainsi, la jarretière gauche est également visible et la charge dramatique n'en sera que plus forte.

Voila, il installe un coussin en lin rose (parfait pour l'harmonie de couleurs à venir!) et avec beaucoup de précautions il soulève ma jambe pour la positionner sur le coussin puis il reprend sa place. L'effet est immédiat. Le bas de la jupe protège encore mon entrejambe car la lumière ne peut l'éclairer mais ma peau nue sous les deux jarretières est une belle promesse pour un homme plein de désirs.

Sans attendre, voulant profiter de son égarement, j'enfonce le clou! Je fléchis ma jambe droite en gardant le genou à plat. Le bas de ma jupe a glissé naturellement au plus près de mes hanches, et il n'y a plus d'obstacle. Mon bassin est grand ouvert, la lumière du soleil tombe droit sur mon sexe. ...

... Les jarretelles à l'effet érotique indéniable, la résille blanche et mon sexe qui siet de l'ombre, il est scotché à la vue de mes lèvres roses qui viennent de se déplier et de ce sexe luisant et magnétique. Mon petit bouton est sorti de sa gangue, rouge étincelant, provoquant, et n'attend qu'une langue avide pour enfler davantage. S'il regardait plus haut, il verrait mes tétons durs comme de la pierre essayer de déchirer le pull pour prendre l'air. Les yeux faussement fermés, je me régale de sa stupéfaction. Je dois même me retenir car j'ai une envie folle de tout arracher, mes collants, ma jupe, et d'écarter mes lèvres avec mes doigts et de lui dire "Je suis à toi, baise moi!". J'adore plus que tout m'exhiber face à l'homme que je désire!

Mécaniquement, il a reposé une main sur la cheville et continue de la masser mais son regard est comme hypnotisé. Il ne quitte plus mon sexe. Je suis un tableau interdit enfin dévoilé! Mon sexe étant complètement rasé, il peut même voir le petit grain de beauté charmant situé à gauche près de la grande lèvre.

Il est captivé, ensorcelé! Je ne rate rien de son regard. Il est subjugué par ma féminité, et son incapacité à écarter son regard de ma chatte, ou plutôt le fait qu'il essaie de ne plus la regarder avant d'y plonger bis repetita, me fait mouiller énormément!

Plus besoin de chaînes, de liens, de cadenas, il est ferré!

"Je crois que je vais faire un malaise, mais ce n'est rien. N'appelez pas la réception, cela n'est pas trop ...