Ma petite belle-soeur (3) - Histoires de Sexe

Ma petite belle-soeur (3)

... chaque fois que j’essaye.

J’introduis alors mon sexe dans sa petite chatte encore tout humide de tout à l’heure et fais quelques mouvements afin de bien humidifier mon gland puis je frotte délicatement sur son petit trou en forçant de temps en temps pour rentrer à l’intérieur. C’était très serré, mais après un court instant, je le rentre entierement dedans.

— Ca va tu n’as pas trop mal ?

-Non c’est trop bon continue

Et elle pousse d’elle-même afin de le faire rentrer un peu plus. Là je sens son anus s’écarter et elle pousse un cri, dont je ne sais pas si c’était de douleur ou de plaisir, mon sexe est rentré plus profondément tout en douceur. C’ést bon.

Je commençe à faire des va-et-vient au fond de son ventre. J’ai l’impression qu’on me la serre très fort dans une main.

Elle, elle commençeà se lâcher et gémis maintenant plus fort. Elle viens à la rencontre de mon sexe et s’empale sur lui de plus en plus vite. Elle crie maintenant d’une voix rauque à chaque coup de boutoir.

Moi je suis maintenant au plus profond d’elle et ma bite est énorme. Je vais et je viens sans me retenir. Je sens le plaisir monter et sa peau ...

... frissonner sous mes doigts.

— Ha c’est bon tu me fais du bien !

J’attrape ses épaules et lui donne de grands coups afin de bien la pénétrer profondément.

— Oh oui défonce-moi, je sens que je vais encore jouir, oui, oui...

-Plus fort, putain c’est bon.

— Oh je viens, oui je jouiiiis "

Son corps tressaille, et se secoue dans tous les sens. Je la sens trembler autour de mon sexe. Elle jete sa tête en arrière et vient s’empaler bien au fond. Moi je sens mon sexe gonfler de plus en plus et n’y tenant plus, j’éjacule en elle . Je sens les jets de mon plaisir couler au plus profond d’elle et de puissants spasmes m’envahir. Nous nous écroulons sur le lit dans un dernier râle, nos corps trempés de sueur.

Je peux apercevoir mon sperme ressortir de son intimité et couler le long de ses cuisses. Je lui étale sur ses petites fesses tout en la caressant.

C’est géant, je n’ai jamais ressenti cette sensation.

Elle se retourne, m’ embrasse et me dit :

— Merci j’ai joui comme jamais, c’était comme dans un rêve.

Vivement la prochaine fois, si tu le veux bien

Et là je lui donne un long baiser sur les lèvres en guise de consentement.