Un amour de vampire (6)
Datte: 14/12/2021,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: CdM38, Source: Xstory
... qu’elle s’habitue à l’intromission de la verge en plastique dans son intimité, mais apparemment, elle en souhaite davantage, car elle noue ses jambes derrière mon dos et m’encourage à accélérer.
— Vas-y Mélissa. Prends-moi... Oui... Oui... Ouiiiiii !
Tout en accélérant mes coups de reins, je frotte son clitoris d’une main et l’embrassant toujours à pleine bouche.
Elle n’est pas longue à venir et je sens son orgasme la parcourir de part en part. Je me dégage à peine pour la laisser reprendre son souffle qu’elle me bascule sur le dos, prenant la position dominante.
— A mon tour, grogne-t-elle.
Cette petite diablesse me dévore aussitôt les seins, les pétrit avec passion avant de descendre plus bas. Elle déboucle mon gode ceinture pour le lancer au loin. Je suis déçue, un court instant, j’espérais qu’elle le mette pour me prendre, mais tant pis, je préfère la laisser s’amuser à sa convenance pour sa première nuit d’amour.
Et ma déception passe rapidement quand elle se dirige vers mon intimité pour dévorer mon bouton d’amour et l’intérieur de ma vulve, plongeant ...
... sa langue dans les tréfonds de ma cavité vaginale, s’abreuvant de mon jus qui coule librement tant elle m’excite.
Elle est loin d’être expérimentée dans l’art délicat du cunni, loupant plusieurs occasions de m’amener à la jouissance, mais son entrain est tel, et elle est si belle, la tête plongée entre mes jambes, sa bouche et ses joues couvertes de mon jus, que je m’en moque et profite de cet instant.
Enfin, la jouissance monte et pour ne pas qu’elle quitte mon clitoris au moment critique, je plaque sa tête dessus.
— Je viens Emilie, soufflé-je. Continue... Oui... Oui !!!!!!
Elle accélère ses coups de langue et mon corps est parcouru d’une puissante vague de jouissance qui me fait me crisper tout le corps, et plaquer sa tête encore plus fortement contre ma chatte. Ma jouissance lui explose au visage et je dois relâcher la pression sur sa tête pour ne pas l’étouffer. Riant, elle se mit à genoux, me souriant.
— Je peux présumer que tu as aimé, murmure-t-elle.
— Viens ici.
Je l’enlace et la lèche de partout, goûtant mon jus et mélangeant nos salives avec.